Comme vous parlez souvent d'Eckhart Tolle, je me suis intéressée à ce spiritualiste. Il reste pour moi un auteur difficile à comprendre parce que je pense que je n'ai pas encore assez cheminé spirituellement pour accéder aux fondements de sa transmission. C'est pour cette raison que je vous soumets une de ses citations :
" Un bien profind se cache même dans la situation la plus inacceptable et la plus pénible en apparence, et tout désastre renferme le germe de la grâce "...
Il est bien évident que je comprends intellectuellement ce que Monsieur Tolle veut transmettre avec cette affirmation. Par contre, moi qui dramatise tout, j'aimerais que vous me disiez comment intégrer ce message d'espoir, cette vérité même, pour que mon anxiété face à mon parcours de vie disparaisse ?
Gilbert
Il nous est donné ce que nous pouvons supporter !
Je pense, comme vous, qu'intellectuellement tout peut se comprendre. Quant à en faire l'expérience lorsque qu'une tuile nous tombe sur la tête, c'est une autre paire de manche. Pour ma part, à près de 60 ans, je continue à penser qu'il ne nous est donné que ce que nous pouvons supporter. A nous justement de ne pas rester dans la dramatisation. Marc Vella, un musicien ayant choisi de traverser la planète en caravane et avec pour seul outil de transmission un piano, dit que " La chute est un envol quand il y a de la joie ! ". Cultiver la joie, au-delà des vicissitudes de la vie, c'est ne plus avoir peur. Certes, le travail est difficile mais il s'agit bien d'un travail de tous les jours à exercer dans la joie ! Je vous donne le lien d'un reportage vidéo qui m'a filé la pêche ce matin, transmise par Patricia Robert, qui intervient parfois ici. Cet homme peut paraître un hurluberlu, mais j'aime beaucoup cette forme de folie... douce. Amitiés !
L'éloge de la fausse note : https://www.youtube.com/watch?v=z0_rpLub6yg
Patricia Robert
Les épreuves de la vie sont un message.
A chaque fois qu'il m'arrive une épreuve, je me dis quel est le message pour m'aider à avancer, je trouve souvent une réponse positive même quand cela fait mal à la base
et je me dis merci, merci à mon cerveau, merci aux gens qui se sont trouvés sur mon chemin, les épreuves nous font cheminer pour accueillir les messages de la vie 
Gilbert, je pense que notre cerveau ne visionne pas par hasard certaines vidéos, elles arrivent aussi pour nous délivrer un message puis on transmet certains les liront d'autres pas
cette vidéo m'a donné de la joie, beaucoup de douceur et de sérénité :-)
Bon dimanche
Sofia M
Une interrogation récurrente pour moi aussi...
Je ne voudrais pas vous casser le moral mais je ne pense pas que cette sagesse soit intégrable devant l'abomination de certaines situations... Ce qui me faire dire cela, en dehors de ma propre expérience de vie, c'est notamment l'interrogation que j'ai toujours devant le handicap congénital. J'ai été amenée à travailler professionnellement avec des handicapés moteur, ayant toutes leurs capacités cérébrales. Ce sont des personnes qui ne se plaignent jamais ! Mais ce sont des personnes qui ont développé un atout exceptionnel : elles savent apprécier le moindre petit bonheur de la journée. Et c'est ce que j'essaie de faire mais, dans mon cas, ça ne me satisfait pas suffisamment, ni ne m'apaise durablement du reste... Il est bien évident et pour revenir à votre question Lilou. G., avec un peu de courage introspectif, nous voyons bien qu'un événement " banal " de la vie quotidienne mais qui nous a toutefois fait souffrir, une fois analysé a posteriori, nous fait réaliser que c'était bien comme ça, du moins pour la croyante que je suis. Mais je pense que ce que vous soulevez est d'un autre registre. Par exemple, comment trouver un bien profond quand des parents perdent un enfant ou dans un drame de cette ampleur, et le germe de la grâce de surcroît ? Si quelqu'un pouvait répondre, ça m'arrangerait bien moi aussi... Dans son affirmation, Monsieur Tolle semble être un élu de Dieu mais comme ce n'est pas mon cas côté évolution spirituelle où je patauge +++, pour ne pas dramatiser je bricole, comme je vous le disais tout à l'heure... Ensuite, sûrement par découragement et incompréhension devant les aberrations douloureuses de l'existence, je me dis que tout cela doit bien avoir un sens qu'il me sera peut-être donné de découvrir dans une autre dimension si cette dimension existe... Tout ça pour dire que je ne pense pas vous avoir apporté grand'chose et je souhaite que d'autres foromers viennent nous aider...
Jean
J'ai aussi du mal avec Eckart Tolle
Il faudra que je travaille encore beaucoup sur moi pour saisir l'affirmation d'Eckart Tolle. Son enseignement est pour moi difficilement accessible. Il est plus facile pour moi d'accepter que " Les voies de Dieu sont impénétrables ". Je tente de Lui faire confiance, même si, comme Job, j'ai parfois envie de comprendre pourquoi la vie semble parfois injuste. Je m'arrange toutefois avec le concept du karma et des vies antérieures. Peut-être la source d'une dette à régler ? Peut-être aussi le sens de la mort sur la Croix d'un juste, Jésus, cachant la grâce de la Résurrection ? Je n'apporte moi aussi rien de tangible mais, faisant confiance en l'Esprit, j'ose croire qu'à celui qui frappe, on ouvrira ! Je pense, Lilou G, que votre questionnement ne restera pas sans réponse, même s'il restera toujours une part de mystère, qui, comme le dit Sofia, nous sera révélée dans une autre dimension, si tant est qu'elle existe bien sûr ! Mais, comme il a été dit ici quelquefois, j'ai la faiblesse d'y croire !
Orlan
Si vous avez une piste...
Cette citation-affirmation d'Eckhart Tolle m'a beaucoup intéressé. J'ai séché moi aussi ! Mais j'ai continué à réfléchir... Comme ce spiritualiste signale, entre autres, que tout désastre renferme le germe de la grâce, je suis repassé par le drame de Charlie Hebdo. Cette tragédie a peut-être été là pour nous faire comprendre que face à la psychose, il ne faut jamais dépasser les limites. Jusque-là je suis OK mais ces familles innocentes qui ont perdu un de leurs proches dans cette tuerie abominable, on leur dit quoi ???
cricri
Ça aurait pu être pire ?
Très belle citation quand on la lit mais quand on essaie de l'appliquer à soi-même, ou de prendre un exemple concret, ne serait-ce que pour tenter répondre à Lilou.G, c'est hermétique. Il est bien entendu que je parle ici de moi et de mes limites...
J'ai quand même essayé de m'appliquer à réfléchir à la sagesse qu'évoque Monsieur Tolle et j'ai pensé alors à un couple qui compte parmi nos relations (professionnelles). Ce couple m'a toujours étonnée, même si je n'émets aucun jugement dans ce que je vais dire. Lui est très infidèle. Elle est devenue alcoolique aunprétexte des infidélités de son mari. Le couple n'a jamais divorcé. Leurs deux enfants ont toujours ménagé la chèvre et le chou mais la fille se rangeant plutôt du côté du père et le garçon défendant sa mère. Les psys vont dire : Œdipe quand tu nous tiens !!! Ceci étant, je me suis toujours demandé pourquoi ce couple n'avait pas divorcé... J'ai même eu la faiblesse de penser que ça aurait été mieux pour tous, ne serait-ce que si l'épouse trahie était partie car son mari la ridiculisait vraiment : peut-être n'aurait-elle pas sombré dans l'alcool ??? Mais, maintenant, il m'arrive de me dire qu'avec un divorce, leur situation aurait pu être pire... Ce qui amène la grande question du couple névrotique qui ne se sépare pas et que tout le monde critique et ce, quelle que soit sa névrose, mais cette névrose assumée en commun les protège-t-elle peut-être d'événements plus graves qui auraient pu survenir sans cette union discordante en apparence ??? Une maman, que je connais, fervente catholique, a eu l'immense malheur de perdre ses deux filles dans le même accident de voiture... Elles avaient 22 et 20 ans... Un jour, elle m'a dit : " Si Le Seigneur les a rappelées à Lui, c'est qu'il fallait que ce soit comme ça. Peut-être auraient-elles mal tourné ? Peut-être auraient-elles souffert le martyr sur Terre ? "... Ainsi peut-être y a-t-il cette forme d'acceptation sereine dans le message de Monsieur Tolle ? Mais, moi aussi, j'aimerais que d'autres témoignages ou avis arrivent car cette question me semble essentielle pour essayer de trouver un peu de paix...
Jean
Je cherche toujours à comprendre !
Comme je suis très têtu quand quelque chose me passionne, et en attendant que d'autres foromers viennent éclairer notre lanterne, je suis allé fouiller un peu sur Internet. Je voulais essayer de situer cette citation dans son contexte. J'ai trouvé qu'elle était tirée d'un livre intitulé " Quiétude " et j'ai même pu voir où se situait ce passage. Le chapitre dans lequel il est inséré s'appelle " Acceptation et lâcher prise ". Juste avant il écrit : Le lâcher-prise vient lorsque vous ne demandez plus : « Pourquoi cela m’arrive-t-il ? » et ensuite : Au cours de l’histoire, des hommes et des femmes ont, devant une grande perte, une maladie, une incarcération ou une mort imminente, accepté ce qui semblait inacceptable, découvrant ainsi « la paix insondable ». Puis Accepter l’inacceptable est la plus grande source de grâce en ce monde...
Je ne sais pas si je fais avancer le schmilblick mais la question d'Orlan me taraude quand même : A ces innocents, on leur dit quoi ? qu'il ne faut pas chercher à comprendre ? J'avoue que je n'en suis pas là. Est-ce que Monsieur Tolle a expérimenté ce type de drame ? Je ne sais pas non plus... S'il est si péremptoire, c'est que cela doit être le cas. Lâcher prise et ne plus se poser de question : peut-être ? Le Christ lui-même l'a pourtant posée : " Père pourquoi m'as tu abandonné ? ". Il est vrai qu'il remet ensuite son esprit entre Ses mains. Mais je ne suis pas le Christ ! Je cherche donc toujours à comprendre et espère que le débat n'est pas clos. Je me sentirais très frustré... Mais peut-être que la frustration est la réponse ????
yamina.174
Même question que vous Jean sur Eckhart Tolle !
Les affirmations positives récurrentes de Monsieur Tolle ont fini par m'interroger dans le sens où j'ai cherché à en savoir un peu plus sur sa vie personnelle ! En dehors de cette sorte d'Illumination dont il parle et qui l'a touché, on ne sait rien de lui... Est-il marié, a-t-il des enfants ??? Il est bien évident que le fait qu'il ne livre quasiment jamais d'exemples concrets de la vie quotidienne me laisse sur ma faim car appartenant astrologiquement parlant à un signe de Terre, j'aurais besoins de repères pratiques... Mais peut-être vont-ils arriver par le clavier de foromers plus évoluês que moi spirituellement... J'aimerais tant progresser sur ce chemin...
Jean
Quelques infos biographiques
Curieux que je suis, Yamina, il a fallu que j'aille sur wikipedia. Bien que je sache qu'il faut se méfier de certaines informations, j' y ai appris qu'Eckhart n'est pas son véritable patronyme et que certains pensent qu'il l'a emprunté au mystique rhénant Maître Eckhart. Selon cette source, il aurait été dépressif et suicidaire jusqu'à une nuit (qui rappelle la nuit de la foi des mystiques) où, à 29 ans, il eût une illumination. Son entourage l'a d'abord pris pour un fou. Il restait assis sur un banc à observer béatement le monde. Puis des personnes se sont intéressés à lui et il a transmis un enseignement. Il est marié. J'avoue que je me méfie un peu de ce type d'autoproclamation... Mais pourquoi pas ! Je suis loin d'être sans ego, comme il semble le prétendre... Il va falloir que je lâche pour saisir son affirmation. Mais s'il faut aller jusqu'aux idées suicidaires, j'avoue que je résiste un peu !!!!
yamina.174
Un chemin qui ne semble pas le mien...
Merci Jean mais... globalement j'avais à peu près les mêmes infos en dehors du mariage !
Pour la question qui nous préoccupe, je partage votre avis : s'il faut aller jusqu'au suicide, je ne rentre pas trop dans cette case et je risque de mourir idiote... Sauf si d'autres foromers entendent notre SOS !
Patricia Robert
" Un bien profind se cache
" Un bien profind se cache même dans la situation la plus inacceptable et la plus pénible en apparence, et tout désastre renferme le germe de la grâce "...
Je pense qu'il faut chercher sa réponse à soi pour soi, évidemment qu'il est difficile de trouver des mots pour l'inaceptable vis à vis des autres.
Je donne un exemple, (par rapport à moi) je suis une enfant de la DASS et j'ai subi beaucoup de trauma aujourd'hui j'ai dépassé ma souffrance et j'en ai fait une force et je suis devenue thérapeute, mon chemin et ma réflexion de mon vécu mon permis de mettre de la grâce dans ma détresse :-), il est bien entendu que personne ne va me dire c'est pas grave ce qui t'es arrivé.
C'est un travail et un cheminement personnel qui nous permet de trouver des réponses aux évenements de notre vie.
J'espère vous avoir apporté un autre point de vue
Sofia M
Et les drames qui ne peuvent pas se transformer ?
Votre histoire est sûrement extrêmement douloureuse Patricia mais, vous le dites vous-même, vous l'avez dépassée et l'avez sublimée. Mais je ne crois pas que Monsieur Tolle fasse allusion à ce genre de situation. Prenons l'exemple de parents trentenaires (je connais le cas dont je vais parler) qui ont eu un enfant trisomique. Ça a été un cataclysme pour ce couple qui a fini par divorcer... Le papa n'a pas supporté la pathologie de son fils et est parti. La maman a courageusement élevé son fils, comme elle l'a pu, mais il restera à jamais une blessure énorme pour elle qui n'a jamais refait sa vie... Comment expliquer à cette femme qu'un bien profond se cache dans ce drame ? Comment expliquer à une autre mère célibataire, dont le fils unique est toxicomane et qui la bat quand elle ne peut plus lui donner d'argent, que ce désastre renferme le germe de la grâce ? Dans ces deux-cas, il s'agit de situations non dépassées et, dans le cas de la trisomie, qui ne sera jamais dépassée dans cette dimension...
Annie
Comment intégrer la sagesse qu'arbitrerait l'inacceptable
Bonjour chères amis,
pour reponse a tout vos question, il y a le livre des anges: le chemin du destinées éditions univers/cité Mickaël
de l'auteur: kaya- Christiane Müller .
je vous souhaite à tous une très belle et bonne lecture.
Serge
Avant d'aller voir du côté des anges, y a du boulot sur terre !
Si vous avez suivi tous ces posts attentivement Annie, vous voyez bien que nous cherchons à comprendre sur un plan pratique la phrase d'Eckhart Tolle...
Cécile
Etonnant ce lapsus calami !
En lisant le commentaire de Patricia Robert, j'ai été interpelle par le lapsus " profind ", au lieu de " profond " . En anglais, si mes connaissances sont bonnes, to find signifie trouver. Quant à pro, cela renvoie à la profession de Patricia. Ce qui explique la belle sublimation quant à son enfance. Mais il est vrai, qu'aussi difficile ait été le parcours d'un enfant élévé par la DAAS, il n'est peut-être de réponse seulement quant à soi. Difficile d'apporter une réponse, me semble-t-il, qui soit valable pour tout un chacun. Mais voilà qu'Eckhart Tolle parle de la situation la plus inacceptable. Je ne peux m'empêcher de penser aux conditions de vie de ces millions de déportés. Ont-ils eu accès au germe de la grâce ? Si tel est le cas, la " Quiétude " m'apaiserait moi aussi ! Mais...
Patricia Robert
J'ai fait un copier coller
J'ai fait un copier coller sans rectifier le lapsus que j'avais repéré :-)
Oui effectivement si nous nous mettons à la place de l'autre il nous paraît difficile d'accepter l'inaceptable car nous ne sommes pas dans l'action mais dans l'observation par contre pour avancer sur notre chemin de vie avec l'inaceptable nous devons pour nous être en action pour comprendre voir sublimer, apprendre à faire avec ou sans, ce qui est un travail personnel parfois très long, mais il est bien de se faire confiance et par conséquent faire confiance à l'autre sur son travail personnel, je pense que nous avons la capacitéà trouver nos solutions :-)
Bonne soirée
Orlan
J'ai l'impression que l'on n'arrive pas à rentrer dans le sujet
Ce que vous dites est juste Patricia Robert mais, tout d'abord, tout le monde ne parvient pas à accepter et à sublimer un drame. Ensuite, pour ceux qui y parviennent et dont je fais partie, je ne me laisse jamais invalider - du moins jusqu'à présent - par les écueils de ma vie mais ce courage (qui m'a été donné sûrement à la naissance, à défaut de cuiller en argent !) ne m'empêche pas d'être inquiet ou triste et c'est là, à mon sens, que trouver ce que veut transmettre Tolle serait The cadeau !!!
Gilbert
Du côté du Bouddhisme zen ?
Effectivement, pas facile ce monsieur Tolle ! Pour ma part, je suis allé chercher du côté du Bouddhisme zen et notamment du psychologue spiritualiste Karlfried Graf Von Dürckheim, imprégné de la pensée de Carl Gustav Jung et de Zen. Il fait, lui aussi, allusion à cette acceptation de l'inacceptable... Voici ce qu'il en dit :
" Il y a des situations dont nous ne pouvons comprendre la signification, et nous avons tous connaissance de telles situations, comme celles par exemple, où l’injustice aboutit à un paroxysme proche de l’absurde. Le désespoir qui jaillit de cette injustice correspond à la peur devant l’anéantissement...
Et là, à nouveau, si l’homme est capable d’accepter l’inacceptable au regard de la Justice, il peut arriver qu’au moment même, il soit soudain enveloppé d’une lumière au sein des ténèbres de cette souffrance. Une voix lui dit tout à coup : « C’est exactement ainsi, c’est comme cela, tout est bien… » — tout étant comme il est, tout est en ordre... "
Tout ça pour dire que Tolle ne semble rien avoir inventé... Pour autant, Dürckheim ne donne toujours pas la solution pratique, si ce n'est qu'aller faire un tour du côté du Bouddhisme est peut-être une suggestion ????
Sofia M
Ni le Pourquoi ni le Comment (y parvenir) ne sont traités...
Moi aussi il y a longtemps que je cherche mais, si le principe est asséné comme étant une Vérité absolue (ce que je ne conteste absolument pas), la pratique qui aiderait tant d'humains n'est jamais transmise... Je veux bien croire qu'il faille trouver par soi-même mais ce qui m'étonne c'est tout de même le mutisme total des spiritualistes quant à la méthode...
Jean
La question reste toujours ouverte !
Oui, Sofia, j'ai l'impression que notre discussion est dans l'impasse... Notre impuissance à intégrer cette citation n'est-elle justement pas due à notre volonté de tout comprendre ? Pour ma part, je suis beaucoup plus sensible aux Ecrits d'Emmet Fox qui induit qu'à un certain moment, accepter l'inacceptable, c'est croire que Dieu ne fait pas n'importe quoi et que seule la Foi peut aider. " Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu... " dit le Christ. A moins que quelqu'un ait une " illumination " face à cette question toujours ouverte, je m'en remets pour l'instant à l'Intelligence Infinie qui finira bien par nous accorder quelques bribes de compréhension... ou pas ! Et s'il nous était finalement impossible d'accepter l'inacceptable, selon notre logique humaine limitée ? Bonne journée à toutes et à tous !
Juliette
A la grâce de Dieu ?
J'ai suivi la conversation depuis le début et, comme vous Jean, j'arrive au fait qu'accepter l'inacceptable c'est peut-être accepter de ne pas comprendre et de s'en remettre à Dieu. Le germe de la grâce, je l'avais compris comme faire comfiance à la sagesse divine : si je ne sais pas, Dieu sait pourquoi. Je ne pense pas faire avancer les choses, mais j'avoue que je ne sais pas dans quelle direction autre, aller.
Orlan
Le problème reste l'angoisse, la honte, la souffrance...
Cette discussion est passionnante mais il est vrai que nous séchons !
Je pense qu'il serait peut-être plus raisonnable d'envisager l'interprétation en essayant de dépasser la situation inacceptable elle-même...Je veux dire par-là comment ne plus souffrir devant l'abominable, comment ne plus être inquiet, comment ne plus avoir honte ? Il me semble que c'est lorsque nous avons atteint ce degré de foi que la Joie de l'Illumination nous est offerte... Ce qui signifie : comment aider psychologiquement un parent quand son enfant est leucémique (donc quasi condamné), comment aider un quinquagénaire au chômage alors qu'il s'en sortait déjà difficilement financièrement, comment aider une épouse dont le mari a violé ? Ceci étant, pour véritablement aider, dans le sens de libérer, encore faut-il avoir dépassé soi-même ses propres angoisses face à l'événement le plus intolérable qui se présente... Je me suis mis en route il y a déjà un certain temps mais je n'ai toujours pas LA solution... Je dis bien LA solution car, dans ce secteur et paradoxalement, elle est sûrement la même pour tout un chacun, sinon nous ne serions pas potentiellement capables d'altruisme...
Gilbert
Il faut donc commencer par soi !
Si je vous ai bien compris, Orlan, aider l'autre commence par être capacitaire à s'aider ou à " céder " soi-même, c'est-à-dire à faire du mieux que l'on peut pour gérer nos angoisses, nos hontes, notre souffrance, tout en sachant montrer nos failles. C'est là que j'ai du mal avec Eckart Tolle et tous ces maîtres à penser qui ne permettent pas une réelle identification en prenant des exemples de la vie quotidienne, de leur vie quotidienne. On a l'impression qu'ils on trouvé La Solution, mais qu'elle nous est inacessible ! Ce sont les " il faut ", " il faudrait " des donneurs de leçon... Les psys diraient que je suis en " transfert négatif " vis à vis de Monsieur Tolle, qui fait, je pense, ce qu'il peut pour transmettre. Mais bon, j'ai l'impression que nous avançons un peu...
clémentine-78
Ne plus attendre...
Vous dites tout haut ce que je pense Gilbert !
Pour ma part, il y a une chose que j'ai remarquée à plusieurs reprises c'est que lorsque je n'attends plus que la situation abominable s'améliore qu'elle se rétablit et que la problématique qui lui était liée disparaît !!! Je sais que je suis loin des Penseurs positifs avec cette attitude mais, et pour y avoir beaucoup réfléchi, je considère que c'est une forme de lâcher prise involontaire qui convoque une portion d'humilité. Ainsi, lorsque je baisse les bras parce que je ne comprends plus, c'est-à-dire lorsque j'ai tout essayé pour chasser l'horreur, j'identifie mon impuissance, mes limites. Du coup, je reste à ma modeste place. Chaque fois que j'ai renoncé après des mois, voire des années de combat intérieur, l'insupportable s'est envolé. Comme je suis croyante, je me suis toujours dit a posteriori que Dieu a agi dès lors que j'ai senti mon incapacité à régler ce qui me gênait car Il nous a créés avec un libre arbitre. Je crois donc que cette attitude est au-delà du " Aide-toi, le Ciel t'aidera "... Autrement dit, je crois qu'il faut que je fasse tout ce que je peux faire pour voir disparaître ma souffrance liée à ce qui me semble insupportable et si rien ne change, il faut que j'arrive à accepter que la situation est ce qu'elle doit être être sur l'instant. C'est comme une sorte de " Aux innocents les mains pleines " mais selon le scénario : Agir/Ne plus agir... Ceci dit, dans ce " Ne plus agir ", il ne faut pas mettre d'indifférence et surtout pas de colère envers quiconque, ni même envers soi... Il est seulement nécessaire d'accepter que " quelque chose " de plus grand nous dépasse. Quand je vois aujourd'hui des guérisons concernant le SIDA ou d'autres maladies très graves, je me demande toujours si ces personnes, après s'être beaucoup battues contre l'inacceptable, n'ont pas fini par se dire : " C'est comme ça ", sans chercher à comprendre... En revanche, ce qui m'apparaît essentiel quand on n'a pas d'autre choix que celui de renoncer à lutter, c'est de mettre l'énergie disponible au service du travail : on n'est pas obligé systématiquement d'effectuer une tâche d'une haute portée intellectuelle. Un homme peut vidanger sa voiture et une femme peut faire un gâteau. Je crois que ce qu'il ne faut surtout pas faire, c'est ne rien faire !!! Je reviens ici à mon idée de départ : ne plus attendre... Ce qui d'ailleurs revient à vivre carpe diem... Ne plus attendre que la situation intolérable se débloque et s'occuper à autre chose... Laisser dès lors le Seigneur œuvrer sans que nous soyons un obstacle... Essayez de faire le ménage avec un enfant dans les jambes : c'est impossible ! Voilà ce que je pouvais vous dire de mes expériences douloureuses personnelles et de leur disparition pour certaines d'entre elles car, quand une disparaît, une autre arrive... Décidément, nous sommes bien sur terre pour travailler !
Jean
Il faut que je lâche prise et que je passe à autre chose !
Votre com, Clémentine-78, a touché pile à l'essence de mon problème. En fait, mon entêtement à trouver masque une énorme fénéantise. Pendant ce temps, je ne bosse pas. Comme si je ne faisais finalement pas confiance à Dieu, bien que je sois croyant. Une révélation pour moi ! Travailler " surmoi " consiste surtout à travailler... Merci...
Lilou.G
Certains pseudo-spiritualistes font de la rétention
Je ne pensais pas que la phrase d'Eckhart Tolle susciterait autant d'intérêt !
Je vous remercie quoi qu'il en soit pour toute l'énergie que vous avez mise dans vos commentaires, même si certains d'entre vous ne semblent pas satisfaits de leurs réponses... Personnellement, j'ai la conviction qu'elles contiennent toutes de quoi avancer et même si ce n'est pas sur le moment. Parfois, dans la vie, au détour d'une interrogation, ou d'un sentiment d'abandon pétri de désespoir, une phrase que l'on avait collée dans un coin de sa tête ressurgit à bon escient... Je ne crois pas à l'inutilité de la communication quelle qu'elle soit... Selon moi, tout a un sens, ce qui me permet aussi de ne plus me prendre la tête quand je n'en peux plus... Toutefois, ce que je retiens de tout ça et une fois de plus malheureusement, c'est que ceux qui sont censés détenir la clef ne la donnent jamais !!! Dommage pour eux...
Isabelle
Oeuvrer
Là je m'y retrouve un peu quand même ! J'ai suivi tous les post, mais à part ce "c'est comme ça...", je tournais lamentablement en rond sans arriver à préciser mon raisonnement. Depuis hier, je n'arrivais qu'à penser à ma mère, qui dans les premiers jours après le décès de son fils, du plus profond de son désespoir, comme un "instant de grâce" s'est dit "tout est accomplis", avec une sorte de conviction profonde intime qu'à partir de là, il ne pourrait plus y avoir pire... Je me suis souvent demandé depuis, si fondamentalement, par cette "attitude", elle n'avait pas rempli l'essentiel de son rôle maternel pour moi, dans la mesure où celà m'a sans aucun doute encouragée à développer ensuite, par mon travail personnel... Mais je suis d'accord, avec ce que vous dites Clémentine-78, c'est vital de passer par le faire, quel qu'il soit, parce que c'est la seule solution pour s'inscrire dans sa différence et donc rester sur son chemin, même s'il est difficile voire incompréhensible à certains moments... mais sans doute qu'il me fallait en passer par une difficulté première "d'actante" pour véritablement me l'appliquer ensuite et lui donner d'autant plus de valeur personnelle, y compris qu'à mon petit niveau d'être humain mon travail est un peu un miroir pour moi-même, du Travail Divin et de Son Oeuvre...
Christel
Merci Gilbert, ce sujet m
Merci Gilbert, ce sujet m'interresse tellement que je ne sais pas par ou commencer et qu'à mon avis j'y reviendrai peut être plusieurs fois .. par contre désolée je ne vous illuminerai sans doute pas sur la question .. (rire ). Tout d'abord je vais commencer par mon expérience personnelle en essayant de ne pas m'attarder sur les détails.. Très jeune je faisais des crises d'angoisse terribles, du moins à mon souvenir je me revois accrochée à la porte de ma chambre en pleurant tremblant , j'avais peur du noir , de la mort, de perdre mes parents .. il faudrait que je demande à ma petite maman, mais je ne l'embêtrai jamais avec ça ..plus tard à l'âge de 14 ans les questions existencielles me hantaient, je ne comprenais pas le but de la vie, ce que je faisais dans ce monde, je ne trouvais pas ma place, je pouvais rester des journée entières assise derrière la fenêtre de ma chambre et ma pauvre petite mère qui me disait " tu devrais t'habiller et sortir ma chérie c'est de ton âge".. ça devait être la crise de l'adolescence, ça m'a passé même si j'avais du mal à trouver ma place, je me sentais en décalage avec les gens de mon âge mais cela angoissait ma mère que je sorte avec des gens plus âgé, jusqu'à ce qu'un ami de ma soeur de 6 ans de plus, et que mes parents adoraient me prenne sous son aile et du coup mes parents en confiance c'était plus simple et me suis bien amusé ( avec de gros hauts et de gros bas ).. A presque 17 ans j'ai perdu papa, je suis rentrée en fac mais 3 mois après n'ayant toujours pas le gôut pour les études et ne voulant pas que maman se crève à bosser pour que j'aille jouer aux cartes plutôt qu'aller en cours je suis rentrée dans la vie active.. Mais questions existencielles étaient toujours là mais je gérais même si je ne comprenais pas pourquoi j'avais eu la chance de naitre ici alors que dans d'autres pays et même chez nous des gens vivaient dans des environnements terribles,ou vivaient des choses impensables humainement, Puis j'ai réalisé en plus à presque 20 ans que je n'avais sans doute pas fait le deuil de mon père, mais c'était surtout des questions sur la vie que je me posais, c'était très difficile je ne comprenais pas le monde, j'avais l'impression d'être une extra terrestre, parfois j'étais très très joyeuse , parfois je tombais très très bas et restais enfermée chez moi.. J'ai vu des psy probablement pas assez longtemps.. J'étais peut être dépressive ou bi polaire, ou je ne sais pas quoi ... entre 20 et 25 ans je ne sais plus au juste, je n'en pouvais plus, je me suis dis qu'il fallait sans doute penser à quitter ce monde et cette vie que je ne comprenais pas ... mais pour cela il faut beaucoup de courage, ou perdre vraiment la raison, ou être vraiment plus bas que plus bas.. et ma petite maman la pauvre , impensable de lui faire subir ça , j'ai réalisé également que j'étais terriblement curieuse et que si je m'étais fin à mes jours, je n'apprendrais plus rien .. je me suis dit à cet instant " bon la seule chose dont tu sois sure c'est que tu vas mourrir un jour, donc pourquoi devancer l'appel à cause de tes angoisses, si un jour tu n'en peux vraiment plus tu pourras toujours avoir ce recours " et là je crois que j'ai eu l'impression que c'est moi qui avais décidé de vivre et que j'allais tout faire pour profiter de ce passage sur terre...Je suis tombée sur " l'art du bonheur " du Dalai lama, livre très accessible dans lequel je me suis retrouvée, et c'est allé beaucoup mieux, bien que toujours un peu perturbée de temps en temps.. Puis j'ai découvert le livre tibétain de la vie et de la mort, je me suis penchée sur le développement personnel .. Bref, j'avance doucement ..mais quand je lis sur les com Keckhart Tolle était dépressif et suicidaire ( je ne le savais pas) je me dis qu'il a peut être eu un truc du genre , puissance 100 si il a eu l'illumination ... (rire) ce n'est pas mon cas ( rerire) mais c'est sur que mes prises de conscience m'ont changées la vie ...Y a encore beaucoup de boulot mais comme me dit ma meilleure amie " je n'ai jamais vu quelqu'un changé autant que toi en 20 ans ) et là je ne peux que lui répondre "et si tu savais comme je me sens mieux et comme j'apprécie ce changement" .( Je n'ai jamais expliqué autant le fond de ma pensée que ce soir et je ne sais pas encore si je vais oser appuyer sur "publier" , je vais enlever ma photo ça va m'aider ..).
Pour ce qui est d'une réaction face à un terrible drame, il y a deux témoignages qui m'ont marqué, mais il faudrait que je retrouve les références, du moin pour une jeune maman que j'avais vu aux émissions religieuses du dimanche matin . Cette dame avait 2 filles, elles avaient une maladie. La première était décédée, et la seconde ayant la même maladie sa maman l'accompagnait pour le bout de chemin qu'il lui restait à faire .Cette jeune dame était, du sérénité, d'une douceur.. c'était un rayon de soleil .. Elle disait que c'était la foi qui l'aidait et qu'elle avançait comme ça , en donnant à sa deuxième fille comme à sa première tout ce qu'elle pouvait lui apporter .. Il faudra que je cherche, c'était il y a des année mais elle avait écrit un livre .. je vais essayer de faire travailler mamémoire ..
L'autre témoignage marquant pour moi était celui d'une dame, unhomme avait égogé sa fille et son gendre si mes souvenirs sont bons ... il me semble qu'évidemment elle avit pris des antidépresseurs durant de longues années je ne me souviens plus si elle en prenait encore .Quand le journaliste lui a dit vous avez beaciup de colère ? Elle a répondu " si en plus du chagrin j'avais de la colère je n'aurais pas pu continuer"..
Et pour terminer en lisant la phrase du thème je n'ai pas pu m'empécher à une discussion avec une amie sur la phrase de Niezche " tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" moi c'était à l'époque ma phrase fétiche mais elle n'était pas du tout d'accord .. elle me disait que selon les personnes ça faisit l'effet inverse et que les épreuves les faisaient sombrer ...
Voili voilou ... je crois que j'en ai assez ( peut être trop) dit et je n'ai même pas le courage de relire ...Tant pis ...
Christel
j'ai retrouvé ( je m'étonne
j'ai retrouvé ( je m'étonne moi même) la dame dont je parlais avec ses petites filles, ce n'est pas l'émission que j'avais vu .. mais malheureusement en écoutant le début je crois que c'est bien l'histoire dont je me souviens .. Voici le lien https://www.youtube.com/watch?v=fpAUsq5yiYs
Christel
je ne sais pas si le lien
je ne sais pas si le lien fonctionne , elle s'appelle Anne Dauphiné Jullian, le livre est : 2 petits pas sur le sable mouillé ...
M.Christine
Eveil des consciences
Merci, Christel, de vous être livrée ainsi . Vous n'avez pas à le regretter .
Eckhart Tolle a aussi dit cette phrase qui m'a remplie d'espoir : "Les temps ont changé, on n'a plus besoin de souffrir ."
Jésus et la plupart des grands maîtres spirituels ont vécu des situations très intenses et des illuminations qui les ont transportés dans un état d'élévation . Ils servent à nous montrer ce qu'il est possible d'atteindre . C'est pourquoi ils nous donnent les grandes lignes . Ils élargissent notre horizon étriqué de petits terriens mais ils ne nous imposent pas d'arriver à leur niveau là, tout de suite, maintenant . Ils savent qu'il y a des étapes à franchir, et nous aussi !
Merci Lilou G. d'avoir abordé ce sujet qui n'a pas fini de faire couler beaucoup d'encre en ce moment et s'étend comme tache d'huile (si je puis dire !)
Charles
Ah oui alors !
Je suis impressionné de ce qu'a déclenché cette discussion chez notre Christel. On se connaît de manière virtuelle depuis peu mais mon feeling de musicien me souffle qu'il est " en train " de se passer quelque chose de particulier pour moi sur ce forum. J'aime bien cet alignement de Bouddha en remplacement de sa photo (et je peux tout à fait comprendre après cet engagement de confidences). Au début, comme la photo est petite je voyais un vieux train à vapeur coloré (c'est marrant l'imagination). Mais j'ai bien envie de monter avec vous dans ce petit train bouddhique. Le bouddhisme est pour moi plus accessible (dans un premier temps peut-être) que les habits noirs des curés (ce n'est que de l'humour... peut-être noir, mais de l'humour quand même, je ne voudrais blesser personne bien sûr)... Cela me fait penser à un journaliste que j'aime bien : Frédéric Lenoir. Il a écrit un bouquin sur Socrate, Jésus et Bouddha. J'ai bien envie de l'acheter.
PS : j'ai feuilleté aussi " Petit traité de la vie intérieure " dans une librairie sans l'acheter. Il me semble que je suis prêt aujourd'hui pour aborder ces sujets... Etrange quand même !
Christel
Frédéric Lenoir
Je ne connais pas le livre sur Socrate, Jésus et Boudha, par contre j'ai bien aimé "Petit traité de la vie intérieure" mais je ne l'ai pas encore terminé car je l'ai prété avant de le finir et il ne m'est pas encore revenu (rire) .. Si ça vous dit je vous laisse un lien d'une émission qui vous interressera peut être :
https://youtu.be/kWh9rJDhPis
Bonne journée .
Gilbert
Merci Christel !
Je prends note du lien, Christel, merci ! J'ai moi aussi laissé en chantier ce livre... Mais je crois que je vais y revenir... Ne serait-ce que pour m'entrâiner à finir ce que je commence (rires !). C'est mon défaut au niveau des bouquins.
Lakshmi
Excellente interview sur le bonheur !
Je suis en train de visionner l'interview donnée par le lien de Christel, elle correspond tout à fait à ce que je pense. Elle me rapelle une discussion sur le bonheur. J'aime bien quand Lenoir dit que ce qui est plus important n'est pas le bonheur mais l'amour... A noter que cet homme a fait une psychanalyse, ce qui n'est pas étonnant !
Voici le lien de la discussion initié par Gilbert : http://votre.signesetsens.com/content/quest-ce-que-le-bonheur
Younes
Je n'ai pas fini de découvrir des pépites !
Je viens de prendre un moment pour aller voir les discussions dans la rubrique développement spirituel et j'y découvre de véritables pétites. Celle-ci en l'occurence ne se contente pas de théorie mais va au fond des interrogations pratiques. J'adore ! Merci à ces forums pas comme les autres !!!