Je suis avec beaucoup de persévérance les posts en Développement spirituel, dont certains domaines sont nouveaux pour moi mais j'avoue que j'ai découvert un univers passionnant que j'aurais aimé découvrir plus tôt mais si c'est comme ça c'est qu'il doit y avoir une bonne raison ! J'en viens à mon interrogation...
J'ai lu qu'il fallait accepter les difficultés pour qu'elles disparaissent...
Je me suis mise en situation et il est certain que face à certaines situations, ça ne m'est pas apparu aisé, c'est le moins que je puisse dire mais, j'ai le sentiment que si je comprenais ce mécanisme, qui m'attire beaucoup soit dit en passant, j'arriverais à accepter ce qui me paraît extrêmement difficile dans ma vie, en particulier avec le relationnel désastreux et triste finalement que j'ai avec la fille de mon compagnon...
Pourriez-vous m'expliquer ce fameux mécanisme ?
Gilbert
Mon petit point de vue sur la question
Bonsoir Lilou G,
Je suis moi aussi un fidèle lecteur et participant - quand je peux - des discussions en développement spirituel. Elles m'apportent chaque jour de quoi avancer sur mon chemin
Pour en revenir à votre question, je vais simplement essayer de vous expliquer comment, en ce qui me concerne, je vois les choses.
Dans un premier temps, lorsque je suis confronté à une difficulté, j'évite - autant que faire se peut - de m'affoler. Je me dis que celle-ci n'est pas là par hasard et que si elle m'est adressé, c'est que j'ai en moi tout ce qu'il faut pour la résoudre. Il faut dire qu'au fur et à mesure que je vieillis j'acquiers l'intime conviction que tout ce qui m'arrive, en bien comme en mal, est là pour que j'évolue. Ainsi, je fais de cette difficulté une alliée plutôt qu'une ennemie. J'ai cité une fois dans ce forum l'histoire de cette nonne Zen qui comprend la véritable voie du Zen lorsqu'elle arrête de voir son cancer comme quelque chose à abattre. Alexandre Jollien - c'est lui qui transmet ces anecdotes pleines de sens - raconte dans le même ordre d'idée qu'un ami sidéen (il appelle ce type d'amis mes amis dans le bien, j'aime beaucoup cette expression), parle de son virus comme d'un max, c'est-à-dire comme un cadeau lui permettant d'avancer. Je n'en suis certes pas là mais déjà, savoir que ces personnes existent relativise tout mes petits bobos.
Dans un deuxième temps, j'essaie de voir si je peux poser des actes qui aiderait à soulager la souffrance générée par cette difficulté. Ainsi, au niveau de votre problème relationnel, de votre côté (mais de votre côté seulement !), que pouvez vous faire pour améliorer votre relationnel avec la fille de votre compagnon ? Etablir une liste, c'est déjà faire avancer les choses : ne pas répondre du tac au tac, rester à sa place, ou à l'inverse ne pas rester dans le non dit en utilisant le pronom " je " et pas le " tu " qui tue, etc...
Dans un troisième temps, tout ce qui ne dépend pas de moi, je le confie à Dieu... Vous rigolez peut-être, mais parfois je reste très basique et je lui parle : Voilà, Seigneur, là je n'y arrive plus... Fais quelque chose si tu veux. Ainsi, je baisse les bras, j'abandonne un combat inutile et épuisant. Je rends les armes. Jollien, qui est handicapé depuis la naissance à cause d'un tour de cordon, raconte que sa fille Victorine lui donne le plus sage conseil qui soit : Papa, tu es handicapé toute la journée, maintenant repose-toi ! Alors Jollien s'allonge sur sa natte et fait Zazen, il laisse " passer ". Je suis moi aussi ce handicapé de la vie lorsque la difficulté est trop grande. Alors, je me repose et je laisse passer les nuages, les orages de mon mental... Je me laisse alors porté par la Vie, qui pour moi est Dieu. Et il termine le boulot selon Sa Volonté ou m'autorise à le finir moi-même, une fois rechargé par cette acceptation...
Je suis bien conscient qu'il ne s'agit en aucun cas d'une recette valable pour tout un chacun, Lilou G, mais jusqu'ici, cela a assez bien fonctionné pour moi. J'espère que mon post vous aura un peu aidée, en attendant nos amis (dans le bien !) qui viendront chacun avec leur sensibilité vous apporter aussi leur point de vue.
Excellente soirée à vous !
Gilbert
Jean
" Problème ou occasion ? "
Comme quoi, les coïncidences !!! Je découvre cette discussion aujourd'hui alors que je viens de lire un commentaire du pasteur Richard Doulière à propos de Philippiens 4/6 : " Ne vous inquiétez de rien. Mais en toutes choses, faites connaître vos besoins à Dieu ". Ce pasteur titre son écrit : " Problème ou occasion ? ". Il explique - ce que je ne savais pas - qu'en chinois, un même symbole désigne à la fois le problème et l'occasion.
Et il interroge : Sur le plan humain, n'est-ce pas le moment d'une saine introspection ? D'où vient le problème ? M'est-il imputable, le produit d'une erreur que j'ai à reconnaître et à abandonner ? Comment le résoudre ? Quelle est la décision qui s'impose ?
Il continue en expliquant que de toute manière, ce sera la possibilité d'acquérir une expérience nouvelle et précieuse. Cela me rappelle un commentaire de notre ami Ari sur la nécessité d'un " OUI " aux conséquences positives issus d'une difficulté, ce qui est le contraire du masochisme.
Il est vrai, continue le pasteur, que tel problème est à ce point grave que nous nous sentons totalement démunis, incapables de réagir, d'imaginer la moindre solution. On rejoint ici - me semble-t-il - la troisième phase de la proposition de Gilbert. Cesse-t-il alors d'être une occasion à reconnaître et à saisir ? Non ! affirme Doulière. Il y a toujours la démarche chrétienne par excellence qui consiste à le confier avec foi au Seigneur et à nous émerveiller de la solution qu'il suggérera à notre esprit ou de la manière dont il nous arrachera lui-même à l'impasse.
" ... préssé de toute manière, écrit Saint Paul (2 Corinthiens 4. 8-9), mais non réduits à l'extrémité ; dans la détresse, mais non dans le désespoir ; persécutés, mais non abandonnés ; abattus, mais non perdus...
Quelques soient les problèmes, conclut le pasteur, nous pourrons faire nôtres ces paroles de l'apôtre.
Je ne sais pa, Lilou G., si mon commentaire vous aura apporté quelques lumières - en tous cas j'espère que oui - mais j'ai trouvé intéressant de vous faire partager ce qui ressemble un peu à de la synchronicité, car dans le calcul des probabilités, cela m'mpressionne que j'ouvre mon ordinateur à votre quetion alors que je venais de prendre connaissance de cette transmission chrétienne ce matin ...
Très bonne journée à tous !
Jean
Christine-zen
Il faut renoncer à notre impatience pour ne plus souffrir
Je voudrais remercier Gilbert et Jean pour leurs commentaires pleins d'intelligence du cœur et d'Amour.
Je les ai lus et relus et je m'en suis nourrie...
Je crois pouvoir dire que tous les jours, je lis pratiquement la totalité des discussions et les différents acquis que j'ai maintenant grâce à ces forums me semblent très précieux.
Compte tenu de la richesse et de la qualité des posts de Gilbert et Jean, il me paraît difficile, à mon niveau d'évolution, d'y ajouter des éléments qui pourraient davantage vous aider mais, non pas pour faire une pirouette - ce qui serait nul -, j'ai envie de répondre à votre question avec mes petits moyens à moi...
Accepter de lire tous ces enseignements théoriques, toujours accompagnés de données pratiques, conduit à la disparition de beaucoup de mes angoisses (je vais parler de ce que je ressens quand je viens lire ces merveilleux forums). Déjà parce que je me sens moins seule, constatant qu'il y a bien des foromers qui rencontrent des difficultés encore plus pénibles que les miennes et qui en font quelque chose d'évolutif. Ensuite parce qu'ils me rappellent, tous avec leurs témoignages, que dès que nous avons compris la leçon, elle disparaît ou s'atténue... Vous qui êtes enseignante (je crois l'avoir lu dans un de vos posts), vous comprenez ce que je veux dire. En même temps, il y a des souffrances qui résistent : quand ça m'arrive, je me dis que soit je n'ai pas compris la leçon et qu'il faut que je cherche encore la compréhension qui n'est pas évidente pour moi, soit que cette situation qui dure, qui me désespère, est sûrement protectrice quant à des événements auxquels je n'ai pas (encore) accès... C'est sûr que, naïvement, j'aimerais de tout cœur que les choses s'arrangent, mais je suis certaine que ce serait pire si j'avais une baguette magique pour faire disparaître mon problème à l'instant T. Je crois en Dieu et j'ai donc la conviction que tout ce que nous avons à traverser abrite une dimension protectrice sur le moment et que si ça dure, c'est justement là qu'il est très important de remercier le Seigneur... Autrement formulé, le fait d'accepter ce qui est transforme ce que nous croyons être un problème en un axe de réflexion qui nous rend meilleurs. C'est en ce sens que, selon moi, le fondement de ce que nous appelons difficultés disparaît. Je sais que tant qu'on ne ressent pas cette dimension de la sorte, c'est carrément hermétique mais le fait d'en accepter le principe change déjà tout. Que dit-on à un élève ? :
- " D'accord, tu en baves en maths, ou en anglais, ou en français, mais accepte que ce ne soit pas agréable pour l'instant parce que quand tu seras adulte et que tu auras un bon boulot, toutes tes difficultés du passé s'envoleront... Tu en garderas juste une trace utile pour ne pas te décourager si un jour tu as un problème "...
Dans ce que vous soulevez Lilou.G, c'est pareil. Ne dit-on pas " après l'effort le réconfort "... Les psys disent que c'est le surmoi qui œuvre. Personnellement, je crois tout à fait à l'existence du surmoi mais, au-dessus du surmoi, il y a Dieu qui ne nous oublie jamais. Prenez l'exemple d'une journée particulièrement anxiogène : il est possible de constater qu'elle contient systématiquement de quoi être apaisé par bribes. Même si ça ne dure pas... C'est en ce sens que l'acceptation est une gomme à disposition mais à la condition de se vivre chaque jour à l'école de la vie pour le meilleur...
Gilbert
Vous avez ajouté l'essentiel !
Christine-zen, vous avez ajouté l'essentiel puisque vous avez pris en compte le métier de Lilou G, ce que j'avais oublié alors que j'ai été moi-même enseignant. Ce que vous dites du bon surmoi et de Dieu au-dessus du Surmoi qui ne nous abandonne jamais, je n'y aurais pas pensé. Comme quoi, chacun a sa pierre (de taille égale) à porter à l'édifice de ces forums. C'est comme une maison de paix qui se construit jour après jour. En tous cas, c'est comme cela que je vois les choses. Une maison qui accueille des lecteurs, même s'ils n'osent pas encore s'exprimer. Je crois qu'il est très important de savoir attendre. Je crois en Dieu, je l'ai déjà dit, et surtout en ce mot chrétien " Espérance ". Lorsque l'on est au coeur de la tempête, de la désespérance, de la douleur, est en train de germer un avenir heureux, j'en suis de plus en plus persuadé. Aujourd'hui m'a téléphoné un jeune (ami de mon fils) qui a perdu son père très jeune. Il a pris un prétexte particulier pour venir me voir mai je trouve cela particulièrement miraculeux. Il a pris son téléphone, contre toute attente, et il a fait sa demande... Je le reçois dans quelques minutes. Il se trouve que j'ai connu son père et que j'ai rencontré sa mère il n'y a pas longtemps qui ne tournait pas vraiment rond... Je ne sais pas pourquoi je vous dis cela car en apparence il n'y a pas vraiment de lien avec le sujet. Pourtant, je ressens une joie indiscible comme si même la mort douloureuse d'un père n'avait jamais le dernier mot... Je crois que cela rejoint quand même ce que vous transmettez Christine, ce qui prouve bien que vos mots témoignent d'une grande évolution spirituelle. Sinon, cela n'aurait pas généré ce que je viens de livrer ! Amitiés (dans le bien !) à toutes et à tous
Orlan
La différence indispensable entre sens propre et sens figuré
Cette discussion constitue une nouvelle très grande ouverture pour moi avec la qualité du contenu des commentaires et, pour cela, merci une fois de plus...
Je sais par expérience, moi aussi, que me servir de mes épreuves pour donner à chaque fois plus de sens à ma vie les fait disparaître dans une certaine mesure. Mais c'est peut-être là d'ailleurs qu'il ne faut pas nous méprendre : une personne handicapée congénitale, quelle que soit sa sagesse, ne verra pas disparaître son handicap au sens propre, mais au sens figuré OUI, c'est-à-dire si elle le " transforme " en une opportunité de grandir. Si j'ai un conflit sévère avec une relation professionnelle ou personnelle, je vais essayer d'en trouver le sens par tous les moyens que j'ai à ma disposition. Quand je trouve ce sens pour moi, le conflit aura été, aura donc existé et il ne va pas disparaître au sens propre. J'en garderai une trace indélébile au fond de moi pour toujours, tel un repère au goût négatif pour ne pas y retourner, mais le fait qu'il ait participé à donner plus de sens à ma vie, en tant que compréhension, va faire disparaître sa charge émotionnelle qui me perturbait. C'est tout l'avantage de passer au mode figuré...
veronika
Bonjour Orlan. J'ai de
Bonjour Orlan. J'ai de réelles difficultés voire conflits avec mon compagnon et j'ai beau réfléchir, je n'y trouve pas de sens. Quel chemin prendre pour y arriver?
Lilou.G
J'avais grandement besoin de ces éclairages
En fait et grâce à vos commentaires, je viens de saisir que - pour le coup - je m'étais mise en mode " premier degré " et que j'avais juste oublié d'élever mes pensées, ce que demande effectivement le sens figuré ! Si 1 + 1 = 2, il est certain aussi que mon esprit, mon psychisme, attend sûrement davantage de moi ! Il faut donc que je prenne l'habitude de ne pas fabriquer un arrêt sur image en bloquant sur la difficulté. Étant quand même globalement quelqu'un de positif, j'aime bien cette perspective de considérer - même si je présume que l'obtention de la réalisation ne doit pas être facile - que toute épreuve a de quoi nous transformer favorablement. Je connaissais un peu cet axe surprenant par des miroirs que j'avais pu observer mais ce qui m'échappait, comme je vous l'ai dit dans mon post, c'était le mécanisme. C'est sûr qu'en restant au conscient, je ne pouvais rien comprendre ! En fait, je me rends compte que notre destinée nous demande de nous élever tout le temps et de dépasser ce que notre corps physique - et celui des autres - nous donne à voir, c'est-à-dire une apparence trompeuse in fine...
Cécile
Faire disparaître la charge émotionnelle
Vos commentaires m'apportent énormément dans le sens d'une compréhension très subtile. Le post d'Orlan, par exemple, me renvoie à la souffrance de Luna et à un commentaire erroné de ma part. En fait je viens de comprendre que la réalité douloureuse laissera toujours une cicatrice indélébile. Par contre, la charge émotionnelle liée à ce passé peut disparaître. Sacré message d'espérance que celui-là ! Merci Orlan.
cricri
La conviction d'un dénouement positif
Malgré ma foi en Dieu, je savais que les épreuves qu'Il m'envoyait ne pouvait être que pour mon bien... Par contre, lorsqu'une difficulté durait, plus le temps passait sans amener de résolution tangible, plus je souffrais le martyr (je n'exagère pas avec ce terme " martyr "). Et puis un jour j'ai compris que le positif d'une situation ne vient qu'A POSTERIORI. Alors j'ai de moins en moins souffert, sachant maintenant que si je continue à me comporter de mon mieux, à prier, à partager, à lire des ouvrages spirituels, le dénouement POSITIF interviendra un jour.
Mireille-cogolin
Ma souffrance repose donc sur mon impatience
La précision que tu apportes Cricri me semble très importante...
Même si j'ai fait beaucoup de progrès, je reste encore parfois trop impatiente dans l'attente de la résolution de mon problème. Le fait de travailler cette conviction totale du dénouement positif d'une épreuve va m'aider certainement à moins souffrir. D'autant que je crois avoir ressenti dans tes propros cette dimension qui va m'obliger à faire de plus en plus grandir ma foi dans Le Seigneur et ça me rapprochera encore davantage de Lui...
Lucien
Il faut que je stoppe le désir du positif immédiat
Je ne crois pas m'inscrire dans l'existence pathologique et infantile du " Tout et tout de suite " mais, si je creuse mes réactions quand je souffre, je ne peux que constater que je voudrais que la levée du problème se fasse le plus rapidement possible ! Je viens de réaliser, grâce à Cricri moi aussi, que c'est ce qui doit décupler ma souffrance... Je vais essayer de me forger cette conviction du dénouement favorable (pour moi) pour stopper mes scénarios catastrophes imaginaires qui rajoutent à mon angoisse qui n'en a vraiment pas besoin...
Ludo_437
J'ai le même délire !
En même temps c'est humain...
En revanche, j'ai bien reçu cet enseignement précieux de Cricri et je vais tenter de calmer mon impétiosité à vouloir que tout ce qui me dérange cesse immédiatement ! Je ne savais pas que c'était une cause de l'amplification de la souffrance.
Merci pour cet apport salvateur.
Bon dimanche,
Ludo
Gilbert
Eloge de la patience !
Je ne sais pas si un tel ouvrage existe mais étant moi aussi toujours pressé que les obstacles soient levés, j'apprécie aussi ce com de Cricri. D'autant que patience rime avec espérance, un mot qui me tient beaucoup à coeur.
Isabelle
Merci pour ce beau dimanche !
Bien entendu... Je ne viens de prendre "connaissance" de ces posts sur un autre sujet, qu'après avoir écrit le premier que je viens de poster ! Je "vérifie" (une fois de plus !) et à l'instant même, combien la force positive des échanges ici, y compris dans la synchronicité... nous est donnée quant il est temps pour soi aussi de l'entendre... Et comme je suis loin d'être un modèle de patience, ce qui moi aussi me joue beaucoup de tours, sur "ma propre foi" en la persévérance ! C'est comme si en ce dimanche, le Signe devenait presque "palpable" en quelque sorte, tant ce que dit Cricri va dans le sens de la réponse à mes interrogations... Impressionnant...
Gilbert. R. Psy...
Savoir attendre
On retrouve, en psychanalyse, l'importance de cette notion de temps, de latence. C'est bien pour cela qu'une cure exclut la notion d'urgence. C'est d'ailleurs lorsque l'analysant devient capacitaire à surseoir que les difficultés se dénouent. Je vous remercie pour cette réflexion qui va tout à fait dans le sens de la méthode freudienne.
M.Christine
Que du bon
Beaucoup de témoignages de grande qualité !
Lilou, vous avez en effet de solides éléments pour vous aider . Je ne peux que souscrire à ce que dit Gilbert, Jean, Christine-zen et tous les autres .
Bonne chance à vous .
nanou-69
Des choses qui vont m'être très utiles
Grâce à vous Lilou G, j'ai appris beaucoup grâce à tous ces commentaires. C'est que du bon, comme dit M. Christine ! Et surtout, je vais pouvoir, à ma mesure, l'appliquer dans ma vie de tous les jours. Et cela, ça n'a pas de prix. Vous êtes tous super !
linda
Positif,malgré tout...
J'aimerais partagé avec vous,le témoignage d'un homme,que je trouve inspirant,malgré son handicap,il se considère chanceux
http://www.journaldemontreal.com/2015/06/04/martin-deschamps-handicape-mais-chanceux
Charles
Inspirant !
Je n'avais pas encore lu cette belle discussion. Je vais la reprendre tranquillement depuis le début. Merci Linda de l'avoir remise en exergue. Je vais suivre aussi le lien que vous donnez.
Charles
Un hasard qui n'existe pas !
Je reviens car je suis allé voir qui était ce Martin Deschamp que je ne connaisais ni d'Eve ni d'Adam. Il se trouve qu'il pratique le même instrument que moi : la guitare basse... Sauf qu'il est handicapé des deux mains... Une belle leçon. Magique ce que la foi et la confiance en la vie peut réaliser. Merci... merci !!!!
Lakshmi
Les difficultés sont des manifestations divines
J'ouvre souvent " L'enseignement de Mâ Ananda Moyî ". Pas toujours évident à réaliser mais cette grande dame de la sagesse martelle à longueur de page que tout est Dieu. Aussi, voir les difficultés comme des manifestations divines permet d'arrêter de lutter contre elles mais d'en faire des alliés. J'essaie de m'y attacher le plus possible et ça fonctionne. Le tout étant de développer une confiance absolue en Dieu. C'est ce que l'on appelle la FOI. J'ai encore beaucoup de chemin à faire mais Mâ dit aussi que le voyage commence toujours ici et maintenant et qu'il n'est jamais trop tard.