Pour avoir eu un zona, je peux vous assurer que la souffrance physique peut être intolérable, au point d’avoir envie de mourir... Je ne veux pas dire que la souffrance morale soit sans conséquences mais il est plus facile d’être aidé dans ce cas-là.
La douleur morale peut appeler une empathie avec des paroles qui soulagent, alors que quand le corps fait mal, parfois même la médecine est impuissante. Je pense notamment à certaines formes de cancers incurables...
Je voudrais dire que la psychanalyse a pour habitude de parler de douleur quand il s’agit du corps et de souffrance quand il s’agit du psychisme. Personnellement, je trouve que cette différence de vocabulaire est parlante.
J’ai eu des coliques néphrétiques l’année dernière. C’est abominable. Pour ma part, ça a été terrible tant que je n’ai pas évacué mon calcul rénal. J’ai eu ma part de souffrances morales et j’ai toujours tenu le coup.
Danièle-Dax
Bien discutable en effet...
Pour avoir eu un zona, je peux vous assurer que la souffrance physique peut être intolérable, au point d’avoir envie de mourir... Je ne veux pas dire que la souffrance morale soit sans conséquences mais il est plus facile d’être aidé dans ce cas-là.
Lotus
Je suis du même avis que vous
La douleur morale peut appeler une empathie avec des paroles qui soulagent, alors que quand le corps fait mal, parfois même la médecine est impuissante. Je pense notamment à certaines formes de cancers incurables...
E.psy84
Différence psy
Je voudrais dire que la psychanalyse a pour habitude de parler de douleur quand il s’agit du corps et de souffrance quand il s’agit du psychisme. Personnellement, je trouve que cette différence de vocabulaire est parlante.
Nini
Je confirme
J’ai eu des coliques néphrétiques l’année dernière. C’est abominable. Pour ma part, ça a été terrible tant que je n’ai pas évacué mon calcul rénal. J’ai eu ma part de souffrances morales et j’ai toujours tenu le coup.