« Délivrez-nous du mal »... Mon credo depuis que j’ai perdu mon petit garçon de la mort subite du nourrisson... C’est vrai qu’il me semble que croyant ou pas, la notion de mal nous persécute, que nous en fassions, que nous nous en fassions (c’est mon cas), qu’on nous en fasse ou que la vie nous l’inflige comme une sorte de fatalité, telle que peut être ressentie la maladie par exemple... J’imagine que nous devons être nombreuses et nombreux à souffrir de la sorte et que je ne suis certainement pas la seule à vouloir en finir une fois pour toutes avec cette souffrance sur fond de culpabilité. Tous vos conseils seront les bienvenus...
Christine-zen
J’ai compris l’intérêt du principe de réalité
Après avoir souffert de tonnes de culpabilité infondées dans ma vie, j’ai décidé de raboter mon ego en constatant que je n’étais pour rien dans des situations qui me faisaient souffrir. Ça m’a pris un certain temps certes mais je me suis peu à peu délestée d’auto-reproches inutiles. Ça a changé ma vie...
Domino
J’aime bien le post de Christine-zen
Son attitude me parle beaucoup dans la mesure où je suis maman d’une enfant trisomique. C’est quand j’ai accepté que je n’étais pour rien dans la différence de ma fille que mon chemin de vie est devenu enfin lumineux. En ce qui vous concerne Chère Luna, déculpabilisez-vous en vous répétant autant de fois que nécessaire que vous n’êtes pas responsable de la mort subite de votre bébé, ce qui est effectivement la réalité...