Pour être efficace, essayez de définir quelle est la méthode d’apprentissage qui vous est propre, chacun d’entre nous ayant une façon différente d’assimiler des données. Votre mémoire est-elle visuelle ou auditive ? Votre intelligence, de type linguistique, logique, spatiale, corporelle, musicale, sociale ou intrapersonnelle ? Selon le cas, vous ne réviserez pas de la même façon. Un linguistique aura intérêt à reformuler ses cours dans ses propres mots, un social parlera de ses cours avec d’autres personnes, un spatial aura recours aux images, etc. Entraînez-vous, faites le plus souvent possible les exercices de vos annales dans des conditions aussi proches que possible de celles du jour J (préparation, durée, isolement…). Si vous en ressentez le besoin et que vous en avez les moyens, n’hésitez pas à vous inscrire dans un institut de préparation aux examens et concours. Les professionnels de ces instituts – à condition de bien les choisir – peuvent vous apporter une aide précieuse pour préparer vos écrits et vos oraux. Les exercices de simulation (et leurs corrigés) s’avèrent ainsi particulièrement efficaces. Le fait de rencontrer d’autres personnes ayant les mêmes objectifs que vous est également très stimulant et ne peut que favoriser la motivation et… l’émulation. Quand la date fatidique se rapproche, ne paniquez pas ! Il ne sert à rien de mettre les bouchées doubles quelques jours avant l’examen. Au contraire, prendre du repos est impératif. La réussite n’est pas proportionnelle au temps passé à bachoter (même si un minimum de travail est, bien sûr, requis).