J'ai rêvé que le père de mon compagnon était mort !

Je pense qu'il ne faut bien sûr pas prendre ce songe au premier degré, chère Lakshmi.

Sans être psy, votre rêve me fait penser à quelque chose qui se termine pour vous, un deuil à faire peut-être au niveau de cette année écoulée ? Le fait que cela concerne le père de votre compagnon peut renvoyer à votre relation de couple au niveau social. Mais je ne veux en aucun cas me lancer dans une analyse sauvage, d'autant que je n'en ai pas les compétences. En tous cas, on pourrait raisonnablement évoquer de nouveaux départs pour 2016.

J'ai fait ce type de rêve à propos de la mort de quelqu'un et j'ai surtout eu peur que ce soit prémonitoire. Et comme j'ai un caractère à être vite affolée, c'est sûr que je n'étais pas à l'aise. Mais comme dit Louis, il ne faut pas le prendre à la lettre. En ce qui me concerne, ça n'a pas eu lieu dans la réalité.

Il y a une époque où je m'endormais très tard car j'avais peur de faire de faire des cauchemars... Depuis que je travaille, ça ne m'arrive pratiquement plus. C'est vrai que le cerveau invente parfois des choses pas drôles pendant le sommeil.

L'idée de transformation et de changement associée à votre rêve semble convenir car vous avez fait vos propres liens. Vous devez certainement être en train de quitter un état qui n'a plus lieu d'être pour vous diriger vers de la nouveauté. Votre entourage vous y encourage. Pas de soucis de ce côté, à mon sens !

Votre rêve est difficile à interpréter car la phrase " je pleurais et mon compagnon ne semblait pas s'inquiéter " est difficile à rattacher identitairement, tel que vous l'avez formulée. Ce qui est aussi le cas pour la phrase suivante. En revanche, sans trop prendre de risques, on peut dire que vous vous détachez inconsciemment de votre propre père, que vous l'idéalisez certainement moins actuellement et que le grand bénéficiaire en sera votre couple. Personnellement, compte tenu du matériel onirique que vous donnez, ce rêve considère le plan affectif et non professionnel.

Même point de vue que Yamina.174. La mort, comme vous la relatez, traduit un processus affectif et non pas social.