Que signifie " faire à la Gloire de Dieu " ?

Bonjour Horia,

Votre question m'interroge aussi dans mon quotidien et ma foi est fragile également. Cependant, si cela peut faire avancer ou du moins démarrer la discussion, cette expression me renvoie à un épisode où est demandé à Jésus, je crois, la signification de la maladie mortelle de son ami Lazare. Jésus, corrigez-moi si je suis dans l'erreur, répond que cette maladie existe pour  " la Gloire de Dieu " . Cette anecdote est à prendre à mon sens telle une métaphore dans la mesure où toute réalité négative peut se transformer en résurrection. Jésus pleure son ami mais Lazare sort en effet du tombeau. Dites-moi si je suis hors sujet ou pas, mais c'est ce qui me vient spontanément !

Je n'ai pas la prétention de détenir la vérité mais comme, personnellement, j'ai beaucoup réfléchi à cette question, sans vraiment trouver de réponses qui me satisfassent à " l'extérieur ", j'ai travaillé jusqu'au moment où une évidence s'est imposée à moi. Je vous la livre...
Rendre gloire à Dieu me semblait le plus élémentaire principe mais, en dehors d'essayer de respecter pour le mieux les Commandements, je ne voyais pas " comment " faire à la gloire de Dieu. Un jour, tandis que je faisais mon repassage (ce qui ne me passionne pas du tout soit dit en passant !), j'ai reçu comme une illumination : faire mon repassage signifiait que j'avais la santé physique pour le faire mais il fallait alors, pour rendre gloire à Dieu, que je repasse avec joie... Il m'offrait la force physique, mon rayonnement était ma reconnaissance... Du coup, je suis allée plus loin dans ma réflexion, me répétant que ce raisonnement " faire dans la joie " devait s'appliquer à toutes les tâches que je trouvais ingrates... Est arrivée ensuite une réflexion plus spirituelle : si j'ai un souci ou un problème familial ou professionnel (à l'époque) ou de bénévolat ou amical ou relationnel, je dois l'accueillir avec joie, tout aussi grave soit-il, car cette épreuve, plus ou moins grave, est là pour m'indiquer que j'ai une force psychologique suffisante pour l'accueillir et ce, " grâce à Dieu "... C'est ainsi que depuis et pour reprendre votre expression, je fais à la gloire de Dieu, c'est-à-dire que je reçois la difficulté avec joie car je sais que j'ai les moyens psychologiques ou physiques de l'assumer... J'ai ainsi acquis la certitude que nos épreuves sont là pour remercier de pouvoir les affronter sans s'effondrer. Les personnes qui s'écroulent à l'annonce d'une mauvaise nouvelle, et qui ne se relèvent pas, n'ont pas conscience qu'elles ont en elles de quoi dépasser cette difficulté... Il est nécessaire, à mon sens, de relier tout obstacle, aussi important soit-il, à la joie. J'ai connu une jeune femme qui a appris qu'elle avait un cancer du sein. Très croyante, elle l'a positivé de la sorte (à ce moment-là je n'avaisnpas compris pourquoi et bien que croyante moi-même, je pensais qu'elle était quand même un peu dans les alleluia)... Elle me répétait que quand Dieu nous envoie la maladie, il nous fait voir la force de guérison qui est en nous... Et cette dame a guéri...

J'ai beaucoup appris de votre post, Cricri. Il me paraît essentiel. Bien peu de personnes, mais il y en a heureusement, possèdent cette capacité à rebondir avec joie face à l'adversité ou ce qu'ils pensent être de l'adversité. Je vois beaucoup, autour de moi, des mécanismes de défense de type vengeance se mettre en place, mécanismes de défense qui ne règlent rien au final. La colère, le sentiment d'être sans cesse en danger à cause d'un autre est plutôt le lot commun. Tous les conflits s'étayent sur ce positionnement erroné. Si chaque fois que la colère montre le bout de son nez, nous avions ce réflexe que vous décrivez avec méthode de faire la grâce de Dieu, les choses évolueraient dans le bon sens. Malheureusement, et pour moi le premier, les attitudes de type coup de parano prennent souvent le devant de la scène. Relier l'obstacle à la joie : un sacré beau challenge à avoir tous les jours à l'esprit. Merci !

Du point de vu humain notre Foi sera toujors insuffisante. Je sais ce que vous voulez dire Horia par une confiance médiocre dans la vie, qui nous améne à des doutes qui est une réaction humaine.

Lire des livres Spirituels est bien, et le fait de buter comme vous dite sur  "Faire la gloire de Dieu", ne se trouve pas que dans les livres; mais dans notre vie de tous les jours, dans notre façon de réagir, nos qualités , les bonnes attitudes, comme dit Cricri  faire tout dans la joie, et avec le but de faire chaque jour quelque chose avec un coeur heureux. Ca fait partie de Faire à la gloire de Dieu qui nous aimes comme nous sommes.

Plaire à Dieu par notre façon de vivre dans la droiture du coeur. car le coeur reflète ce que nous sommes des personnes bonnes ou pas. Mais même si je ne suis pas a la gloire de Dieu je sais que Dieu m'aimes et je lui demande de me pardonner et me changer.

Je pense à l'exemple de lazare qui est citer ; il était l'ami de Jésus et pourtant  Jésus est venu trop tard, pourqoi? Jésus l'a fait exprès ? Non, Il avait un but faire la gloire de Dieu je m'explique, les deux soeurs de lazare Marie et Marthe envoyèrent dire à Jésus : " Seigneur voici celui que tu aimes est malade." alors Jésus répondit: " Cette maladie n'est point à la mort , mais elle est pour la gloire de Dieu,  afin que le fils de Dieu soit glorifié par elle."  Donc Jésus savait que Lazare réssuciterai, quand Il se mit en chemin pour aller voir Lazare ses disciples lui dirent tu vas retourner las-bas les juifs ont voulus te lapider! il leur dit il faut travailler pendant qu'il fais jour car le nuit vient et cela est son oeuvre sur la terre pour nous jusqu'a la croix. Car Il dit aux disciples : "Lazare, notre ami, dort, mais je vais le réveiller, et il parlait de sa mort et sa résurrection, les disciples ne comprirent pas, Jésus dut leur dire ouvertement : "Lazare est mort." Dans leurs doutes les disciples lui dirent allons mourir avec lui. Les deux soeurs de Lazare elles aussi dire a Jésus : " Si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort". et il est écrit que Jésus frémit en son esprit, et fut émut. Puis devant le sépulcre Il pleura. ( pour moi il pleura que il devais avoir dut laisser son ami mourir et par la tristesse de ceux qui l'aimaient et leurs incrédulités c'est un avais personnel.)

Il régnait autour de lui toutes  sortes d'agitations de doutes, pourquoi l'a-t-il pas guéri,  de la part des juifs et la foule;  Jésus réssucita Lazare, afin que ceux qui croient pas trouve la Foi; car il est écrit : "Plusieurs des juifs qui étaient venus vers Marie, et qui virent ce que fit Jésus, crurent en lui. Alors que d'autres partirent pour chercher une accasion de chute pour Jésus. Voilà un groupe fût pour Faire la gloire de Dieu on croyont que d'autres restérent dans leurs doutes et pirent, dans leur mauvais choix.

Pour moi faire la gloire de Dieu est de tout faire comme je peux pour être agréable à Lui, faire ce qui est bon et malgré mes chutes, mes échecs, mes erreurs de choix, je sais que Dieu m'aime, et me pardonne et je compte sur Dieu chaque jour pour faire de mieux en mieux, en obeissant à ses commandements.

Ce qui m'aide beaucoup dans  ma confiance, mes espoirs, ma vie c'est de confiés entre les mains divines et puissantesde Jésus ma vie.  Je prie car ma communion avec Dieu est une force, ma lecture de la Bibles ou autres livres Sprirituels  sont mes directions par le Saint Esprit de Dieu en moi qui me parle dans mon coeur et mon âme par sa sagesse mais Dieu utilise aussi des hommes et des femmes comme nous pour parler. Dieu est tout puissant et je l'adore de tout mon coeur. Et je vous assure que ce sentir approuver et aimer de Dieu dans son coeur est glorieux . Je ne regretterais jamais de lui avoir un jour donner mon coeur et ma vie .

Rien est facile au contraire mais ma force est en Dieu voila mes freflexions merci à tous

je réprends le commentaire de cricri. Je suis profondément persuadée que s'Il nous envoie une épreuve ou une difficulté dans la vie, c'est parce qu'il sait que nous saurons la combattre. J'ai eu un cancer il y a une dizaine d'années, et j'étais seule avec quatre enfants. Je me suis "posée" un moment et je lui ai dit "je te fais confiance, je sais que tu me donneras la force d'y parvenir". Il y a de cela treize ans.

Mes enfants seuls, puisque j'étais hospitalisés, ont été portés, et je lui disais : "fais quelque chose pour eux, je ne sais pas me battre sur tous les plans."

Je ne pratique pas régulièrement, mais je garde au plus profond de moi même, qu'il suffit parfois de dire "là je ne peux plus, il faut que tu m'aides" et je suis toujours très étonnée de m'apercevoir que très vite des solutions apparaissent, ou m'apaisent

Je ne gagne pas beaucoup par mois pour vivre, mais je sais qu'Il ne me laissera jamais tomber. Et çà c'est formidable

Bonne soirée à tous

Je fonctionne de la même manière Fachou. Lorsque la difficulté est objectivement insurmontable, j'essaie de me mettre en état de réceptivité et je délègue à Plus Grand que moi. Jusqu'à maintenant, Il a toujours fait ce qu'il fallait. " Faire la Grâce de Dieu ", c'est peut-être aussi réaliser que l'on ne maîtrisera jamais tout mais que Lui sait ce qui est bon pour nous. Ce qui permet de voir les choses autrement et d'être soulagé. " Mon fardeau est léger " dit le Christ, à condition de ne porter que ce qu'il nous est possible de porter et d'offrir le reste au Père, dont la Puissance est infini.

En vous lisant tous, je ne peux qu'aquiescer à ce qui est dit... Merci aussi pour le témoignage de Fachou ! C'est édifiant sur le fait qu'accepter nos limites peut très bien être envisagé comme étant l'inducteur de "Grâce à Dieu"... Et je vérifie aussi que bien souvent, je perds de vue ce "faire dans la joie"... Comme je suis plutôt "râleuse" de nature, j'ai bien souvent besoin d'un "temps" de recul, pour remercier... Car enfin faire dans la joie, le ménage par exemple, comme le dit Cricri, devrait être, en première intention, en remerciant... d'être en bonne santé déjà et donc en capacité de le faire... Où comme le dit Fachou, d'avoir "l'énergie" nécessaire pour "combattre", dans le cas d'une maladie par exemple... Et puis, faire dans la joie, c'est tenir compte que dans le "faire", quel qu'il soit, il y a toujours une idée de "service", ne serait-ce que parce qu'en acceptant nos limites, en s'en remettant à Dieu, nous cultivons ce qui nous fait souvent le plus défaut, l'humilité... qui prend véritablement valeur de principe de réalité, pour "casser" une toute-puissance toujours tentatrice. Autrement dit, accepter nos limites, tout autant que "faire dans la joie" c'est déjà intégrer au quotidien que ce que nous vivons est fondamentalement juste et non l'inverse, et que nos doutes et nos peurs ne sont qu'une des multiples formes d'un égo invalidant... Nous traversons ou pas, uniquement ce qu'il nous est possible... Hors pour notre plus grand malheur, tant que nous "l'oublions" nous "pêchons par orgueil"...

Le commentaire de Fachou est tellement plein d'humilité qu'il constitue un superbe enseignement pour moi aussi... Je ne veux pas me déculpabiliser mais il est vrai que nous vivons aujourd'hui dans un monde de la performance et que petit à petit, à force d'essayer de repousser nos limites humaines, nous finissons par oublier que ressentir nos limites psychologiques et physiques reste tout de même la protection absolue. Le post de Fachou m'a reconnectée immédiatement à La Source, à Dieu : grâce à elle, je vais penser à nouveau que je peux demander de l'aide au Seigneur quand je n'en peux plus ou quand je ne trouve pas la clef qui pourrait m'ouvrir à la solution. Je vais peut-être en faire sourire plus d'un ou plus d'une mais j'avais oublié ces bons réflexes que j'avais pourtant il n'y a pas si longtemps encore... Ce qui prouve que tous ces témoignages sont une manne exceptionnelle pour se recentrer sur L'Essentiel et accepter que nous ne pouvons pas tout résoudre en tant qu'être humain mais que Notre Père pourvoit à tous nos besoins... Cette discussion est d'autant plus importante pour moi et en dehors de ce que je viens de dire parce que mon papa est soigné actuellement pour un cancer de la prostate que sa maladie et son âge sont aussi là pour me rappeler que je vais pouvoir de moins en moins compter sur lui mais que ma foi pourra obtenir le secours approprié le cas échéant...

J'ai un ami très cher qui est agée que j'ai toujours consideré comme un père que je n'ai pas eut ! Avait eut le cancer de la prostate il a dut être opéré d'urgence et ils lui en tous retirer la protate et il fut surveiler pendans des année et encore aujourd'hui il fait de prise de sang ila 73 ans et il va bien il n'est plus rien au analyse tout est normale et nous etiosn un petits groupes a prier pour lui sans cesse et compter de toute notre force sur l'amour et la bonté de Dieu dans la guérison et Dieu l'a gueri!

Et la derneièrement il viens de ce faire enlever la vesicule c'etait très important elle pourissait et là aussi risque de cancer et les resultat sont negatif et il a failli mourir pendant l'operation par le prière il est sauvée aujourd'hui il va bien car il ralle je ris sa femme lui dit quand je t'entends raler c'est que tu vas bien !

Cette homme merveilleux qui est mon père de remplacement Dieu a répondu a mes prières et ceux de sa famille et je voulais vous le partager Clémentine dans les épreuves de la vie Dieu est plus fort et peux nous donner au-delà de nos espérances et c'est pour cela que je l'adore de tout mon coeur Dieu est ma vie et mon oxygéne il m'a tant donné et me donne toujours chaques jours amen

C'est toujours pour moi beaucoup d'énergies positives que de lire vos com... Ce que je dis là, tout de suite, n'engage que moi... Mais j'y retrouve une énergie aussi bienfaitrice et évolutive dans la réflexion et le recentrage, que lorsque je me trouve dans une église... Ce partage est un plus ! Il a valeur pour moi d'une autre forme de prières à la Gloire de Dieu... Ici, nous sommes un peu déja, dans un "faire à la Gloire de Dieu", puisque nous n'hésitons pas à livrer nos doutes, nos peurs autant que nos limites... Et tout le vécu évolutif que nous permettent nos "foi", quelles qu'elles soient... Merci pour tant d'Amour !