Recrudescence des cancers chez les femmes tabagiques

En tant qu'ex-fumeuse, je sais que l'on peut rationaliser de manière invraisemblable en effet ce poison qui est une véritable addiction, une dépendance qui tente de remplir un manque profond. J'ai réussi, grâce à Dieu, à arrêter. Informer des risques, toujours et encore peut déclencher une prise de conscience salvatrice. Merci de rappeler que le tabagisme est un fléau et non des moindres.

Solange

Pour avoir des amies fumeuses, je ne suis jamais arrivée à me faire entendre d'elles d'un point de vue de la santé (je n'ai jamais fumé par chance). Les fumeuses (et les fumeurs) n'imaginent pas intrinsèquement un seul instant qu'elles (et qu'ils) pourraient avoir un jour un cancer. Une preuve? Elles (et ils) continuent à fumer!

Je pense que ce choix de ne plus fumer, vaut bien qu'on se bagarre avec soi pour y arriver. Que des avantages ! La santé en premier lieu. Un budget qui ne part plus en fumée. Une vraie liberté en somme...

Je suis en train de mener ce combat pour me libérer du tabac et cette discussion m'encourage. Merci.

Le contenu du commentaire de Suzy ne m'étonne pas du tout.

Je passe plusieurs fois par semaine devant un lycée et quand je vois ces très jeunes gamines et ces jeunes gamins une cigarette au bec à 9 heures du matin, je me dis à chaque fois qu'ils n'ont toujours pas compris, malgré les campagnes répétitives de prévention, que fumer tue... Et dans quelles conditions dramatiques en plus...

Une de mes proches, âgée de 50 ans, a un cancer du sein. Quel ne fut pas mon étonnement d'apprendre qu'elle continuait à fumer... 

Fumer est une forme de suicide qu'on le veuille ou non.