Quel budget consacrez-vous à l'anniversaire de votre enfant ?
Ces enfants-rois en souffrance
L'origine latine du mot enfant, « infans », « celui qui ne parle pas », nous signale qu'au tout début l'enfant n'avait pas la parole et n'existait pas en tant que tel. Il suffit de regarder les tableaux des peintres de l'époque classique, vers les XVIIème et XVIIIème siècles, pour s'apercevoir que l'enfant n'y est représenté que sous les traits d'un adulte en miniature. Bien avant dans l'Histoire, les lois romaines permettaient aux pères l'élimination d'un enfant à sa naissance, si nécessaire ! L'Histoire a heureusement évolué, les droits de l'enfant sont apparus. À partir de la Révolution Française, ils sont inscrits dans la Déclaration des Droits de l'Homme.
Lire la suite >>>
- Pour publier votre commentaire, inscrivez-vous ou connectez-vous
- S'abonner
Cécile
Un budget équilibré
J'ai deux enfants adultes. Je consacre un budget équilibré à chacun de leur anniversaire. C'est à dire une somme qui me coûte sans toutefois me mettre en séduction ni en danger financier. J'essaie aussi de privilégier la qualité plutôt que la quantité. Par ailleurs, je n'attends pas les anniversaires pour témoigner d'un petit geste quand l'occasion se présente et quand c'est possible car je pense qu'ils le méritent : dans l'esprit de donner ce qui déborde de la coupe en quelque sorte.
Corinne
Multiplié par 2 avec des jumeaux
Et comme nous avons fait le choix réfléchis que je sois à la maison avec eux jusqu'à l'entrée à l'école maternelle l'an prochain, nous sommes d'autant plus vigilant au budget avec mon compagnon. Une somme raisonnable est fixée et nous n'y dérogeons pas. Pour l'instant ils sont encore petits, mais nous savons déjà que ça continuera dans ce sens lorsqu'ils vont grandir. En plus, ce sont les premiers petits-enfants pour les deux familles, donc je peux vous assurer qu'ils ne manquent de rien pour ce qui est des jouets et des vêtements ! Mon compagnon gagne très bien sa vie avec la pizzéria dont il est le patron, mais ça ne veut pas dire que nous devons "pourrir" nos enfants pour autant...