Toutefois, moi non plus je n’en suis pas là, même si je le déplore. J’ai déjà croisé ce genre d’affirmations égrenées par des spiritualistes différents mais j’avoue humblement que je ne parviens toujours pas à m’apaiser avec cette hypothèse. J’aimerais tant y accéder pour que mes peines, mes chagrins, mes angoisses me lâchent un peu...
Je ne parviens absolument pas à combler le vide laissé par le départ de mon petit Enzo, décédé d’une mort subite du nourrisson. Ce mécanisme dont parle Khalil Gibran ne fonctionne pas pour moi bien que je sois croyante. Je connaissais un peu cette sagesse pour l’avoir lue à maintes reprises mais je ne suis jamais arrivée à l’intégrer. Je ne baisse pas les bras mais il s’agit pour moi d’une immense difficulté et je ne sais pas pourquoi. D’autant que mon infini chagrin ne fera jamais revenir mon enfant sur Terre...
Certains êtres humains ne le découvriront jamais dans leur existence. Si il nous est donné en miroir, il faut le travailler et je suis certaine, au fond de moi, qu’on peut arriver à passer ce cap de la tristesse à la joie chaque fois que la tristesse nous envahit. Moi non plus je n’en suis pas là mais je ne baisse pas les bras et tant que j’aurai ma tête, je continuerai à tenter ce merveilleux défi salvateur.
Jamivoyant
La peine a son double inversé
Ah, si tous mes consultants pouvaient comprendre ce grand processus humain...
M Christine
Je peux le comprendre quelque part...
...mais de là à l’accepter au plus profond de mon psychisme, il y a un océan que je je parviens pas encore à traverser.
Nathalie M
C’est sûrement un des chemins de la foi
Toutefois, moi non plus je n’en suis pas là, même si je le déplore. J’ai déjà croisé ce genre d’affirmations égrenées par des spiritualistes différents mais j’avoue humblement que je ne parviens toujours pas à m’apaiser avec cette hypothèse. J’aimerais tant y accéder pour que mes peines, mes chagrins, mes angoisses me lâchent un peu...
luna_95
Je pense que cette foi n’est pas donnée à tout le monde
Je ne parviens absolument pas à combler le vide laissé par le départ de mon petit Enzo, décédé d’une mort subite du nourrisson. Ce mécanisme dont parle Khalil Gibran ne fonctionne pas pour moi bien que je sois croyante. Je connaissais un peu cette sagesse pour l’avoir lue à maintes reprises mais je ne suis jamais arrivée à l’intégrer. Je ne baisse pas les bras mais il s’agit pour moi d’une immense difficulté et je ne sais pas pourquoi. D’autant que mon infini chagrin ne fera jamais revenir mon enfant sur Terre...
Plumes
On ne découvre pas cet axe spirituel par hasard
Certains êtres humains ne le découvriront jamais dans leur existence. Si il nous est donné en miroir, il faut le travailler et je suis certaine, au fond de moi, qu’on peut arriver à passer ce cap de la tristesse à la joie chaque fois que la tristesse nous envahit. Moi non plus je n’en suis pas là mais je ne baisse pas les bras et tant que j’aurai ma tête, je continuerai à tenter ce merveilleux défi salvateur.
Flo
Nos joies seraient donc proportionnelles à nos peines
Très intéressant... Je vais me pencher sur ma vie pour essayer de le vérifier...