Halte aux prédateurs !

Mais il est certain que lorsque nous sommes victimes d’actes de prédation, nous avons une part de responsabilité, même si la société d’aujourd’hui cherche par tous les moyens à nous prouver le contraire.

Sigmund Freud rappelait que chaque victime cache un bourreau, potentiel ou quasiment détectable, voire avéré! Il est sûr que de nos jours victimiser dès que possible fait le buzz.

Depuis des semaines, les listes de victimes de harcèlement ne cessent d’augmenter, jusqu’à déclencher maintenant suspicion et processus contre-productif par manque de crédibilité pour beaucoup de ces plaintes.

Quand quelques personnes connues s’aventurent courageusement à parler de délation par rapport à certaines de ces plaintes, car trop effectivement c’est quand même trop, la société féministe crie au scandale.

Rappelons, si besoin était, que voir son nom s’afficher à la une des journaux télévisés ou papier, alors que rien ne prouve le harcèlement, doit faire un curieux effet...

Un drame dont les réseaux sociaux vont malheureusement s’emparer de plus en plus.
Les donneurs de leçons devraient apprendre avant tout à réfléchir à leurs propos avant de les projeter sans discernement, ne serait-ce que leurs propos langagiers.

Il faudrait peut-être mettre un peu d’ordre dans tout cela et stopper illico cette confusion qui est en train de s’inflitrer pernicieusement entre Faire la cour et Harceler. Ce qu’a tenté de dire à juste titre le philosophe Alain Finkielkraut dans une émission que je qualifierai de populaire, au mauvais sens du terme, sans qu’il soit réellement entendu...

... mais je n’aimerai pas être à la place des personnes qui dans cette histoire exagèrent ou qui mentent dans leurs accusations ...