D’un point de vue psychanalytique, nous sommes des êtres de plaisir puisque nous nous incarnons ainsi... Mais, dans un second temps, le surmoi parental, puis filial et enfin collectif, nous impose des limites à notre corps défendant... Ce qui entraîne carrément un désastre chez certains qui souffrent d’interdits redoutables sur le plaisir et de conséquences dramatiques.
Sofia M
Effectivement...
Pour les épicuriens, la tâche est certainement plus aisée que pour les sujets psychorigides !
Pier36
La faute aux religions?
Peut-être en partie... Sûrement même...
E.psy84
Tout un chacun a du mal avec le plaisir
D’un point de vue psychanalytique, nous sommes des êtres de plaisir puisque nous nous incarnons ainsi... Mais, dans un second temps, le surmoi parental, puis filial et enfin collectif, nous impose des limites à notre corps défendant... Ce qui entraîne carrément un désastre chez certains qui souffrent d’interdits redoutables sur le plaisir et de conséquences dramatiques.