Comment rencontrer la plénitude

Et je l’en remercie. Quand j’ai un petit coup de blues côté finances ou côté cœur, je me rappelle immédiatement ce que j’ai en positif dans ma vie. C’est une excellente thérapie !

Je sais que c est ce qu il faut faire mais comme j’ai pas de problèmes j’ai du mal à comptabilisé ce que j ai de bien.

C‘est un excellent réflexe à acquérir mais avec une solide persévérance, on y parvient très bien.

Mon fils, jeune majeur, n’est pas toujours rassurant, notamment côté relations. C’est vrai qu’il m’inquiète souvent... Mais, le week-end dernier, j’étais invitée à un dîner chez une collègue de travail. Elle avait invité aussi sa belle-sœur et son frère qui ne peuvent pas avoir d’enfant. Nous avons échangé un peu ensemble sur ce sujet et j’ai compris combien ils étaient tristes de ce manque. Depuis quelques jours, je me surprends à penser que même si mon fils est difficile pour l’instant, il a été un bébé et un petit garçon adorable. J’ai des souvenirs merveilleux avec lui. Et puis, il est là et je sais qu’il peut changer car il a un bon fond et que son père et moi l’adorons. Il me semble que nous avons toujours de quoi remplir positivement notre vie, même si certains pans de notre existence sont douloureux.

Vous avez raison : rien n’est complètement négatif dans les épisodes que nous traversons. Les psys disent qu’ils abritent toujours leur corollaire inversé positif. C’est vrai. J’ai pu le constater à de multiples reprises et vous venez, Horia, de nous en faire de votre côté la démonstration. Un grand merci.

C’est ainsi qu’il faut raisonner... en permanence...