Je ne connaissais pas cette affirmation de Sénèque mais malgré les nombreuses épreuves que j’ai dû traverser dans ma vie, j’ai en moi, je garde par chance en moi, cet espoir, sorte d’instinct de survie...
Tant qu’on espère et quelle que soit la gravité de notre problème, la dépression, la maladie, n’ont ni le pouvoir ni le dernier mot. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’à pathologie égale, à drame égal, certains s’en sortent et d’autres non.
Ma vie n’a pas été systématiquement un long fleuve tranquille et, à mon âge encore, des épines sur ma route sont encore là. Ceci dit et même si par moments j’aurais envie de baisser les bras, je trouve toujours à un moment donné (oui : « donné » - Un vrai don du Ciel) la force de me redresser et de continuer ma route car, dans mon esprit, je reste persuadée que ces épines qui me font encore souffrir non seulement ont un sens (des dimensions que je n’ai toujours pas saisies) mais disparaîtront définitivement le jour où j’aurai enfin compris ma destinée et que j’atteindrai alors un réel niveau d’Acceptation...
Septuagénaire, j’ai pu constater à maintes reprises que nos problèmes peuvent se régler à force de persévérance. Personnellement, je souffre encore de pans de ma destinée mais, peut-être en bon croyant que je suis, je continue à espérer. J’aimerais toutefois y mettre davantage de joie... Pas facile cependant quand l’angoisse s’imisce et règne en maîtresse...
À mon sens, vous dites l’essentiel Pier36: pour que nos soucis se diluent pour mieux disparaître, il faut impérativement les accueillir et les accepter AVEC JOIE. Le + dur se situe là pour moi...
C’est peut-être la plus grande dimension bouddhiste... Difficile à mettre en place et à tenir sur la durée mais, pour ma part, j’essaie et je continue dans cette direction autant que faire se peut car je suis convaincu que cette attitude consitue la plus grande clé qui soit pour être délivré de notre karma.
M Christine
Mon instinct de survie
Je ne connaissais pas cette affirmation de Sénèque mais malgré les nombreuses épreuves que j’ai dû traverser dans ma vie, j’ai en moi, je garde par chance en moi, cet espoir, sorte d’instinct de survie...
suzy
Un principe de guérison
Tant qu’on espère et quelle que soit la gravité de notre problème, la dépression, la maladie, n’ont ni le pouvoir ni le dernier mot. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’à pathologie égale, à drame égal, certains s’en sortent et d’autres non.
cricri
Je m’accroche à cette Loi universelle
Ma vie n’a pas été systématiquement un long fleuve tranquille et, à mon âge encore, des épines sur ma route sont encore là. Ceci dit et même si par moments j’aurais envie de baisser les bras, je trouve toujours à un moment donné (oui : « donné » - Un vrai don du Ciel) la force de me redresser et de continuer ma route car, dans mon esprit, je reste persuadée que ces épines qui me font encore souffrir non seulement ont un sens (des dimensions que je n’ai toujours pas saisies) mais disparaîtront définitivement le jour où j’aurai enfin compris ma destinée et que j’atteindrai alors un réel niveau d’Acceptation...
Pier36
Il ne faut jamais jeter l’éponge
Septuagénaire, j’ai pu constater à maintes reprises que nos problèmes peuvent se régler à force de persévérance. Personnellement, je souffre encore de pans de ma destinée mais, peut-être en bon croyant que je suis, je continue à espérer. J’aimerais toutefois y mettre davantage de joie... Pas facile cependant quand l’angoisse s’imisce et règne en maîtresse...
Ari
Une donnée importante
À mon sens, vous dites l’essentiel Pier36: pour que nos soucis se diluent pour mieux disparaître, il faut impérativement les accueillir et les accepter AVEC JOIE. Le + dur se situe là pour moi...
zen03
Accueillir et accepter dans la joie...
C’est peut-être la plus grande dimension bouddhiste... Difficile à mettre en place et à tenir sur la durée mais, pour ma part, j’essaie et je continue dans cette direction autant que faire se peut car je suis convaincu que cette attitude consitue la plus grande clé qui soit pour être délivré de notre karma.