Pour envisager d,intégrer à son bonheur le bonheur de tous les autres demande une Sagesse que je n’ai pas. C’est certainement l’idéal mais quel degré de philanthropie faut-il atteindre pour réaliser cet objectif altruiste !
Il me semble que l’auteur de cette citation veut dire qu’il s’agit des personnes avec lesquelles nous sommes en lien réel. Comment pourrait-il en être autrement ?
Ma réponse était superficielle. Vous avez parfaitement raison : lorsqu’il s’agit de personnes que nous n’aimons pas, il faut une sacrée dose de tolérance en soi pour les associer à notre bonheur !
Je rejoins votre point de vue. En envisageant ce qu’est le bonheur d’un proche on peut se planter complètement! Pas question en fait de réduire l’autre à soi.
Marie Lou
Ma question
"Son propre bonheur doit inclure le bonheur des autres" : mais de TOUS les autres?
cerise-du-26
Question pertinente
Pour envisager d,intégrer à son bonheur le bonheur de tous les autres demande une Sagesse que je n’ai pas. C’est certainement l’idéal mais quel degré de philanthropie faut-il atteindre pour réaliser cet objectif altruiste !
Vincent
Nuance
Il me semble que l’auteur de cette citation veut dire qu’il s’agit des personnes avec lesquelles nous sommes en lien réel. Comment pourrait-il en être autrement ?
cerise-du-26
Ça ne résoud rien
Parmi nos proches, il y a toujours des personnes que nous n’apprécions pas... C’est là où le bât blesse et c’est là où je voulais en venir.
Vincent
Oui, effectivement...
Ma réponse était superficielle. Vous avez parfaitement raison : lorsqu’il s’agit de personnes que nous n’aimons pas, il faut une sacrée dose de tolérance en soi pour les associer à notre bonheur !
Ludo_437
Autre question...
Sait-on réellement ce qu’est le bonheur des autres ?
Vincent
Excellente question !
On risque toujours d’être en projection en imaginant ce que peut être le bonheur des autres...
Hugopsyfrance
De nombreuses confusions possibles
Je rejoins votre point de vue. En envisageant ce qu’est le bonheur d’un proche on peut se planter complètement! Pas question en fait de réduire l’autre à soi.