Bonjour Iverlaine ! Comme vous le dites vous-même, les contrariétés dans un sens général, génèrent souvent des "signaux d'alarmes" sur un plan physique, autrement appelées somatisations. D'ailleurs ne dit-on pas "ça m'est resté sur l'estomac", "je n'ai pas digéré" ou plus simplement "ça ne passe pas"...
Comme un petit clin d'œil d'ailleurs, en écrivant mon titre, je me suis surprise à écrire "mots" pour "maux", si je puis dire... Dans ce sens, il s’agirait pour votre bien-être global, de chercher à identifier ce que « vous ne digérez pas », vous l’avez compris…
D’ailleurs, il existe une méthode thérapeutique appelée « décodage biologique » qui fonctionne sur ce principe plus précisément. Si vous souhaitez en savoir un peu plus à ce sujet, je vous propose d’y consacrer un post spécifique dès lundi, après m’être documentée sur ce thème spécifique… En attendant voici déjà quelques propositions naturelles permettant « d’apaiser » la sphère intestinale de façon globale.
Je souligne cependant, qu’il est bien évident, qu’en cas de douleurs récurrentes, il s’agira toutefois d’en passer par votre médecin, qui sera à même de vous prescrire examens et traitements adéquats bien entendu.
Si je précise cela, c’est que j’ai déjà à l’idée de mettre en avant, l’usage du bicarbonate, excellent « remède naturel » au niveau digestif, mais qu’il ne faut pas utiliser en cas d’ulcère notamment. D’ailleurs, à ce propos, vous pouvez déjà « alléger » votre estomac, en modifiant quelque peu votre alimentation, durant 15 jours… Ce peut-être une solution intermédiaire intéressante, pour vérifier si les douleurs persistent déjà. Il s’agit de ne plus consommer d’aliments cuits en friture, en particulier les frites, mais pas seulement. Éliminer les aliments particulièrement « acides ou irritants » tels tomate, agrumes, épices (sauf exception), mais aussi café, alcool et toutes boissons gazeuses. Bannir sur ce temps, sucreries et autres viennoiseries également… Consommer de la salade verte en abondance, autrement dit midi et soir, en privilégiant la laitue par exemple, qui contient dans ses côtes plus particulièrement, une substance « relaxante » qui permettra en parallèle, du coup, de « déstresser ». Bien évidemment, la vinaigrette est à alléger en vinaigre, préférez-lui un filet de citron, et utiliser de préférence l’huile d’olive ou de noix. Optez pour les cuissons « vapeur et/ou grillé type plancha ». N’oubliez pas de boire en abondance, de l’eau très douce.
Du côté des petits coups de pouce naturels spécifiques, en voici quelques exemples intéressant :
- Lors de contrariétés, de situations stressantes, la sphère intestinale réagit, y compris en se déréglant… Il peut être intéressant de faire une petite cure d’1 mois d’oligo-éléments cuivre-or-argent qui assainira le milieu digestif et en parallèle générera un aspect dynamique permettant de mieux gérer, une fatigue trop importante.
Comme à mon habitude, je ne peux faire l’impasse de l’usage de certaines huiles essentielles mais qu’il s’agit d’utiliser avec précaution d’usages cependant :
- Pour stimuler la sphère biliaire : 1 ml de cardamome + 2 ml de romarin + 2 ml de menthe poivrée + 1 ml de basilic. 3 gouttes de ce mélange dans une cuillerée à café de miel, avant les 3 repas de la journée et durant 3 semaines.
- Pour stimuler la sphère pancréatique : 2 ml de muscadier + 2 ml de litsée citronnée + 2 ml de menthe poivrée + 1 ml de basilic + 1 ml de vétiver. 3 gouttes de ce mélange matin et midi avant les repas, dans un peu d’huile d’olive et durant 3 à 4 semaines.
- Contre l’aérophagie : 2 ml de basilic + 1 ml de cardamome + 2 ml de cumin + 1 ml d’estragon + 2 ml de fenouil. 2 goutes avant les repas dans une cuillerée à café de miel.
- Du côté des tisanes, qu’il est facile de consommer hors et après repas, le romarin est tout indiqué, dans la mesure où il est antispasmodique, antiseptique, anti-inflammatoire et convient particulièrement aux situations de stress/angoisse provoquant les désagréments intestinaux et stomacal. La sauge est également toute indiquée également avec des vertus assez similaires au romarin. Le thym et la menthe poivrée sont aussi d’excellents remèdes naturels.
- Enfin, une petite cure de pollen, peut s’avérer intéressante également, puisqu’elle agira comme un antibiotique naturel en régénérant la flore intestinale tout en oxygénant tout l’organisme en parallèle.
Bien évidemment, il ne s’agit que de quelques suggestions, la liste pouvant s’avérer beaucoup plus fournies… Mais si vous me permettez d’insister un peu… Peut-être devriez-vous voir un peu du côté relaxation également… Amitiés Iverlaine !
Je ne voudrais pas abuser après la réponse très développée que vous avez faite et dont je vais de toute façon me servir car mon estomac ne se calme pas mais, ayant déjà entendu parler du décodage biologique sans vraiment savoir de quoi il s'agit, je suis preneur !
Je vous avoue Iverlaine, que je ne connaissais pas vraiment cette approche thérapeutique, et que du coup, me documenter me permet de vous "apporter des éléments de réponses" autant que d'être informer moi-même...
Pour faire simple, il s'agit d'une méthode de soin thérapeutique, dont le professionnel porte le nom de psycho-bio-thérapeute. Développée depuis une vingtaine d’année, cette méthode est à ma connaissance largement initiée, développée et enseignée par Christian Flèche.
Ce que souligne de façon importante Monsieur Flèche, c’est que cette approche thérapeutique se veut fondamentalement complémentaire à l’aspect soins médicaux et psychologiques. Il n’est absolument pas question de recevoir un individu qui n’aurait pas en parallèle, un solide diagnostic médical avec traitement suivi, voire un suivi psychologique au préalable… En fait il s’agit de partir du principe que l’inconscient est avant tout biologique, à entendre sur le mode d’une mémoire cellulaire, et que tous « conflits » (pour ma compréhension) s’inscrit dans nos cellules. Par conflits, si j’ai bien compris, on entend tout autant, trauma, souffrance, furstration importante refoulées, mais aussi un non-dit transgénérationnel, qu’il s’agit de « dégager » via une écoute du « sens biologique » de la maladie. Autrement dit, avant tout « accompagner » un individu malade vers le sens et la cause du symptôme, qui se traduit par la réalité biologique, donc la fonction biologique d’un organe malade, « engrammé » via l’émotionnel de chacun. Il existe en ce sens un « ressenti biologique conflictuel », autrement appelé bio-choc. D’une autre façon, « nous parlons avec nos organes ».
Ce que j’ai trouvé rassurant en me documentant, et particulièrement via des ouvrages de Christian Flèche justement, c’est qu’il est également souligné, qu’il ne s’agit absolument pas d’un système « pensée magique », mais bien plutôt de se « hisser », vers une maturité nécessaire, l’acceptation de ses propres limites… limites que le corps traduit et de façon plus spécifique via un ou des organes en particulier. Ensuite, dans l’ouvrage que j’ai « étudié » plus particulièrement (Décodage biologique des problèmes digestifs), l’auteur s’attache a largement « répertorier » des exemples concrets de sa pratique, et plus particulièrement dans cet ouvrage donc, tout ce qui est en lien avec le système digestif en partant de la sphère buccale jusqu’à la sphère anale, bien évidemment. Un large éventail des différents organes et de leurs fonctions et les parallèles à faire avec un symptôme correspondant à un « ressenti », donc « émotion bloquée ».
Il serait bien trop long d’en rapporter ici… Tant chaque exemple est largement développé et détaillé… Je ne peux que raisonnablement vous inviter à vous procurer l’ouvrage, aux « Editions Le Souffle d’Or » si le sujet vous « parle »… J’espère avoir été assez claire dans mon explication, en fonction de ma compréhension cependant… A bientôt Iverlaine !
J'avoue que le début de votre post m'a rassuré, Viviane. A savoir qu'il n'est absolument pas question pour cette méthode de zapper l'apport conventionnel de la médecine et de la psychologie. Je me méfiais du fait qu'il aurait pu s'agir d'une panacée " fourre tout ", promettant des guérisons irréalistes. Je vais donc me pencher un peu plus sur cette méthode, en mettant de côté mes a priori. D'autant que ce Monsieur Flèche (infirmier je crois et biologiste de formation), se désolidarise d'une mouvance qui consistait à refuser les apports de la médecine moderne, notamment pour soigner le cancer...
Merci chère Viviane d'avoir fait ce que vous aviez dit... Effectivement, le décodage biologique me semble être une approche très intéressante car intelligente.
Souffrant beaucoup ce week-end, j'ai essayé le miel en pot (je n'avais que ça) et je ne sais pas si c'est l'effet placebo mais ça m'a un peu calmé... Aujourd'hui j'ai pu travailler sans me tordre de douleurs. En revanche, je vais suivre l'ensemble de vos conseils car ils me paraissent curatifs et préventifs à la fois. Cette particularité me plaît beaucoup car le fait d'inscrire sa santé dans la prévention permet déjà de se détendre Et donc de moins fabriquer et d'attirer de somatisations...
"La maladie contient l'or que tu ne trouveras nulle part ailleurs" C. G Jung
Etant de formation paramédicale, je me suis intéressé à votre question Iverlaine et aux réponses très documentées de Viviane. Pour compléter la lecture des livres de Christian Flèche, je vous conseille l'acquisition du livre du psychothérapeute Québécois, Jacques Martel "Le grand dictionnaire des malaises et des maladies" aux editions quintessence. Il traite plus de 800 maux ou maladies (mal à dire) et c'est une mine d'or que j'utilise très souvent avec des patients qui veulent avancer dans la compréhension et la guérison de leurs maux. Je l'utilise aussi à titre personnel pour y trouver des pistes sur mes somatisations et c'est un bon guide
Je vous cite un extrait de ce livre qui traite de l'estomac (maux d'....) page 225 : " Les malaises affectant mon estomac se rapportent au "pain quotidien", au côté matériel et maternel de mon existence. Je connais le travail effectué par mon estomac et je sais qu'il représente ma façon de digérer, d'absorber et d'intégrer les événements et les situations de ma vie. Les problèmes d'estomac surviennent lorsque ma réalité quotidienne est en conflit avec mes désirs et mes besoins. Ces conflits se retrouvent habituellement au niveu de mes relations familales, amicales ou professionnelles. Je vis des angoisses importantes [...] ". Il y a presque 2 pages sur le sujet.
Si le sujet de la "biologie et le sens" vous interesse, nous amis canadiens et Belges ont une longueur d'avance sur ce sujet. Il existe, par exemple, la revue Néosanté (revue papier ou numérique) qui réalise chaque mois un cahier décodages (4 thèmes décodés en moyenne) avec des interviews des acteurs majeurs du décodage et des symboles des maladies (Dr Jean Lerminiaux, Dr Olivier Soulier, Christian Flèche, Jean-Jacques Crèvecoeur physicien et philosophe...).
Je vous souhaite de trouver un sens à vos maux Iverlaine et d'aller en douceur vers la guérison.
A votre santé ! Bien à vous.
Thierry
PS : je confirme que ces approches alternatives ne peuvent en aucun cas se substituer à un diagnostic médical. Elles permettent "juste" d'apporter un autre éclairage et une meilleur compréhension à nos problèmes de santé.
Comme les conseils développés ici râtissent large le panel de possibilités, je me permets de rappeler aussi qu'il y a plus de cent ans maintenant que Sigmund Freud a postulé d'une genèse des maux qui s'entend et s'analyse grâce à une écoute spécifique des... mots...
Complémentarité médecine/psychanalyse : " Le sens des maux ", une conférence téléchargeable gratuitement du docteur Laurence Pescay : cliquer sur le lien !
Viviane
La nature au service des maux d'estomac
Bonjour Iverlaine ! Comme vous le dites vous-même, les contrariétés dans un sens général, génèrent souvent des "signaux d'alarmes" sur un plan physique, autrement appelées somatisations. D'ailleurs ne dit-on pas "ça m'est resté sur l'estomac", "je n'ai pas digéré" ou plus simplement "ça ne passe pas"...
Comme un petit clin d'œil d'ailleurs, en écrivant mon titre, je me suis surprise à écrire "mots" pour "maux", si je puis dire... Dans ce sens, il s’agirait pour votre bien-être global, de chercher à identifier ce que « vous ne digérez pas », vous l’avez compris…
D’ailleurs, il existe une méthode thérapeutique appelée « décodage biologique » qui fonctionne sur ce principe plus précisément. Si vous souhaitez en savoir un peu plus à ce sujet, je vous propose d’y consacrer un post spécifique dès lundi, après m’être documentée sur ce thème spécifique… En attendant voici déjà quelques propositions naturelles permettant « d’apaiser » la sphère intestinale de façon globale.
Je souligne cependant, qu’il est bien évident, qu’en cas de douleurs récurrentes, il s’agira toutefois d’en passer par votre médecin, qui sera à même de vous prescrire examens et traitements adéquats bien entendu.
Si je précise cela, c’est que j’ai déjà à l’idée de mettre en avant, l’usage du bicarbonate, excellent « remède naturel » au niveau digestif, mais qu’il ne faut pas utiliser en cas d’ulcère notamment. D’ailleurs, à ce propos, vous pouvez déjà « alléger » votre estomac, en modifiant quelque peu votre alimentation, durant 15 jours… Ce peut-être une solution intermédiaire intéressante, pour vérifier si les douleurs persistent déjà. Il s’agit de ne plus consommer d’aliments cuits en friture, en particulier les frites, mais pas seulement. Éliminer les aliments particulièrement « acides ou irritants » tels tomate, agrumes, épices (sauf exception), mais aussi café, alcool et toutes boissons gazeuses. Bannir sur ce temps, sucreries et autres viennoiseries également… Consommer de la salade verte en abondance, autrement dit midi et soir, en privilégiant la laitue par exemple, qui contient dans ses côtes plus particulièrement, une substance « relaxante » qui permettra en parallèle, du coup, de « déstresser ». Bien évidemment, la vinaigrette est à alléger en vinaigre, préférez-lui un filet de citron, et utiliser de préférence l’huile d’olive ou de noix. Optez pour les cuissons « vapeur et/ou grillé type plancha ». N’oubliez pas de boire en abondance, de l’eau très douce.
Du côté des petits coups de pouce naturels spécifiques, en voici quelques exemples intéressant :
- Lors de contrariétés, de situations stressantes, la sphère intestinale réagit, y compris en se déréglant… Il peut être intéressant de faire une petite cure d’1 mois d’oligo-éléments cuivre-or-argent qui assainira le milieu digestif et en parallèle générera un aspect dynamique permettant de mieux gérer, une fatigue trop importante.
Comme à mon habitude, je ne peux faire l’impasse de l’usage de certaines huiles essentielles mais qu’il s’agit d’utiliser avec précaution d’usages cependant :
- Pour stimuler la sphère biliaire : 1 ml de cardamome + 2 ml de romarin + 2 ml de menthe poivrée + 1 ml de basilic. 3 gouttes de ce mélange dans une cuillerée à café de miel, avant les 3 repas de la journée et durant 3 semaines.
- Pour stimuler la sphère pancréatique : 2 ml de muscadier + 2 ml de litsée citronnée + 2 ml de menthe poivrée + 1 ml de basilic + 1 ml de vétiver. 3 gouttes de ce mélange matin et midi avant les repas, dans un peu d’huile d’olive et durant 3 à 4 semaines.
- Contre l’aérophagie : 2 ml de basilic + 1 ml de cardamome + 2 ml de cumin + 1 ml d’estragon + 2 ml de fenouil. 2 goutes avant les repas dans une cuillerée à café de miel.
- Du côté des tisanes, qu’il est facile de consommer hors et après repas, le romarin est tout indiqué, dans la mesure où il est antispasmodique, antiseptique, anti-inflammatoire et convient particulièrement aux situations de stress/angoisse provoquant les désagréments intestinaux et stomacal. La sauge est également toute indiquée également avec des vertus assez similaires au romarin. Le thym et la menthe poivrée sont aussi d’excellents remèdes naturels.
- Enfin, une petite cure de pollen, peut s’avérer intéressante également, puisqu’elle agira comme un antibiotique naturel en régénérant la flore intestinale tout en oxygénant tout l’organisme en parallèle.
Bien évidemment, il ne s’agit que de quelques suggestions, la liste pouvant s’avérer beaucoup plus fournies… Mais si vous me permettez d’insister un peu… Peut-être devriez-vous voir un peu du côté relaxation également… Amitiés Iverlaine !
iverlaine
Le décodage biologique m'intéresse...
Je ne voudrais pas abuser après la réponse très développée que vous avez faite et dont je vais de toute façon me servir car mon estomac ne se calme pas mais, ayant déjà entendu parler du décodage biologique sans vraiment savoir de quoi il s'agit, je suis preneur !
Merci et bon dimanche...
Viviane
Une alternative santé : le décodage biologique
Je vous avoue Iverlaine, que je ne connaissais pas vraiment cette approche thérapeutique, et que du coup, me documenter me permet de vous "apporter des éléments de réponses" autant que d'être informer moi-même...
Pour faire simple, il s'agit d'une méthode de soin thérapeutique, dont le professionnel porte le nom de psycho-bio-thérapeute. Développée depuis une vingtaine d’année, cette méthode est à ma connaissance largement initiée, développée et enseignée par Christian Flèche.
Ce que souligne de façon importante Monsieur Flèche, c’est que cette approche thérapeutique se veut fondamentalement complémentaire à l’aspect soins médicaux et psychologiques. Il n’est absolument pas question de recevoir un individu qui n’aurait pas en parallèle, un solide diagnostic médical avec traitement suivi, voire un suivi psychologique au préalable… En fait il s’agit de partir du principe que l’inconscient est avant tout biologique, à entendre sur le mode d’une mémoire cellulaire, et que tous « conflits » (pour ma compréhension) s’inscrit dans nos cellules. Par conflits, si j’ai bien compris, on entend tout autant, trauma, souffrance, furstration importante refoulées, mais aussi un non-dit transgénérationnel, qu’il s’agit de « dégager » via une écoute du « sens biologique » de la maladie. Autrement dit, avant tout « accompagner » un individu malade vers le sens et la cause du symptôme, qui se traduit par la réalité biologique, donc la fonction biologique d’un organe malade, « engrammé » via l’émotionnel de chacun. Il existe en ce sens un « ressenti biologique conflictuel », autrement appelé bio-choc. D’une autre façon, « nous parlons avec nos organes ».
Ce que j’ai trouvé rassurant en me documentant, et particulièrement via des ouvrages de Christian Flèche justement, c’est qu’il est également souligné, qu’il ne s’agit absolument pas d’un système « pensée magique », mais bien plutôt de se « hisser », vers une maturité nécessaire, l’acceptation de ses propres limites… limites que le corps traduit et de façon plus spécifique via un ou des organes en particulier. Ensuite, dans l’ouvrage que j’ai « étudié » plus particulièrement (Décodage biologique des problèmes digestifs), l’auteur s’attache a largement « répertorier » des exemples concrets de sa pratique, et plus particulièrement dans cet ouvrage donc, tout ce qui est en lien avec le système digestif en partant de la sphère buccale jusqu’à la sphère anale, bien évidemment. Un large éventail des différents organes et de leurs fonctions et les parallèles à faire avec un symptôme correspondant à un « ressenti », donc « émotion bloquée ».
Il serait bien trop long d’en rapporter ici… Tant chaque exemple est largement développé et détaillé… Je ne peux que raisonnablement vous inviter à vous procurer l’ouvrage, aux « Editions Le Souffle d’Or » si le sujet vous « parle »… J’espère avoir été assez claire dans mon explication, en fonction de ma compréhension cependant… A bientôt Iverlaine !
Jean
L'importance du côté " complémentaire "
J'avoue que le début de votre post m'a rassuré, Viviane. A savoir qu'il n'est absolument pas question pour cette méthode de zapper l'apport conventionnel de la médecine et de la psychologie. Je me méfiais du fait qu'il aurait pu s'agir d'une panacée " fourre tout ", promettant des guérisons irréalistes. Je vais donc me pencher un peu plus sur cette méthode, en mettant de côté mes a priori. D'autant que ce Monsieur Flèche (infirmier je crois et biologiste de formation), se désolidarise d'une mouvance qui consistait à refuser les apports de la médecine moderne, notamment pour soigner le cancer...
iverlaine
Approche curative et préventive à la fois... Super !
Merci chère Viviane d'avoir fait ce que vous aviez dit... Effectivement, le décodage biologique me semble être une approche très intéressante car intelligente.
Souffrant beaucoup ce week-end, j'ai essayé le miel en pot (je n'avais que ça) et je ne sais pas si c'est l'effet placebo mais ça m'a un peu calmé... Aujourd'hui j'ai pu travailler sans me tordre de douleurs. En revanche, je vais suivre l'ensemble de vos conseils car ils me paraissent curatifs et préventifs à la fois. Cette particularité me plaît beaucoup car le fait d'inscrire sa santé dans la prévention permet déjà de se détendre Et donc de moins fabriquer et d'attirer de somatisations...
Thierry
Le sens des maux
"La maladie contient l'or que tu ne trouveras nulle part ailleurs" C. G Jung
Etant de formation paramédicale, je me suis intéressé à votre question Iverlaine et aux réponses très documentées de Viviane.
Pour compléter la lecture des livres de Christian Flèche, je vous conseille l'acquisition du livre du psychothérapeute Québécois, Jacques Martel "Le grand dictionnaire des malaises et des maladies" aux editions quintessence. Il traite plus de 800 maux ou maladies (mal à dire) et c'est une mine d'or que j'utilise très souvent avec des patients qui veulent avancer dans la compréhension et la guérison de leurs maux. Je l'utilise aussi à titre personnel pour y trouver des pistes sur mes somatisations et c'est un bon guide
Je vous cite un extrait de ce livre qui traite de l'estomac (maux d'....) page 225 : " Les malaises affectant mon estomac se rapportent au "pain quotidien", au côté matériel et maternel de mon existence. Je connais le travail effectué par mon estomac et je sais qu'il représente ma façon de digérer, d'absorber et d'intégrer les événements et les situations de ma vie. Les problèmes d'estomac surviennent lorsque ma réalité quotidienne est en conflit avec mes désirs et mes besoins. Ces conflits se retrouvent habituellement au niveu de mes relations familales, amicales ou professionnelles. Je vis des angoisses importantes [...] ". Il y a presque 2 pages sur le sujet.
Si le sujet de la "biologie et le sens" vous interesse, nous amis canadiens et Belges ont une longueur d'avance sur ce sujet. Il existe, par exemple, la revue Néosanté (revue papier ou numérique) qui réalise chaque mois un cahier décodages (4 thèmes décodés en moyenne) avec des interviews des acteurs majeurs du décodage et des symboles des maladies (Dr Jean Lerminiaux, Dr Olivier Soulier, Christian Flèche, Jean-Jacques Crèvecoeur physicien et philosophe...).
Je vous souhaite de trouver un sens à vos maux Iverlaine et d'aller en douceur vers la guérison.
A votre santé ! Bien à vous.
Thierry
PS : je confirme que ces approches alternatives ne peuvent en aucun cas se substituer à un diagnostic médical. Elles permettent "juste" d'apporter un autre éclairage et une meilleur compréhension à nos problèmes de santé.
Sofia M
... Et la Psychanalyse bien entendu !
Comme les conseils développés ici râtissent large le panel de possibilités, je me permets de rappeler aussi qu'il y a plus de cent ans maintenant que Sigmund Freud a postulé d'une genèse des maux qui s'entend et s'analyse grâce à une écoute spécifique des... mots...
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Une conférence gratuite : " Le sens des maux "
Complémentarité médecine/psychanalyse : " Le sens des maux ", une conférence téléchargeable gratuitement du docteur Laurence Pescay : cliquer sur le lien !
http://www.signesetsens.com/conference-psy-audio-le-sens-des-maux.html#....