J'ai lu que le Dalaï Lama avait dit que le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous...
Je comprends un peu intellectuellement ce qu'il veut dire mais en pratique, je n'arrive pas à avoir cette sagesse. Comment être heureux quand un proche est gravement malade par exemple ? D'ailleurs, pour avoir lu quelques-uns de ses livres, le Dalï Lama ne donne jamais la solution !
Mais vous, avez-vous la clé ?
Je pose souvent ce genre de question car je me dis qu'en conjuguant nos expériences de vie et nos parcours spirituels, on peut peut-être arriver à trouver des solutions tangibles et aider des personnes en grande souffrance...
Tard dans la nuit, j'ai écouté une émission sur Gustave Thibon, le philosophe et l'homme de foi, autodidacte. J'ai été très déçue (et à la fois rassurée !) car tout ce qu'il a développé sur Dieu ne m'a rien apporté. Et puis surtout, il n'a jamais apporté le moindre exemple personnel qui aurait pu rendre tangibles ses argumentations. Jusque dans les citations qu'il a faites tout au long de l'émission et qui n'apportaient quasiment rien...
Je ne suis pas une femme de défis. Il y a longtemps que vous l'avez compris si vous avez la gentillesse de suivre mes posts, mais je pense que ce serait bien si nous essayions une fois de plus de faire avancer la grande interrogation : comment sortir de la souffrance ?
Viviane
"Faire avec", une clé ?
Bonjour à vous Mireille-cogolin ! Il me semble, à titre personnel, que si quelqu'un avait cette "clé en main", il devrait s'empresser de la faire breveter, car il deviendrait sans aucn doute, l'être humain le plus riche de la planète en un temps record ! Outre mon état d'esprit se voulant un peu "léger"... Plus "sérieusement", je ne pense pas qu'il y ait une clé dans le sens d'une recette magique... cependant, je pense tout autant, que nous avons tous des clés, qui nous permettent déjà d'aller dans le sens d'un "faire avec"... Celà n'induit pas nécessairement "bonheur", mais en tout cas, celà permet de dédramatiser et donc d'alléger pour soi... autrement dit, développer l'acceptation, crée un équilibre intérieur... Et pour moi, une part de cette acceptation à développer passe par la prière, parce qu'elle me permet tout autant de m'inscrire dans ce "seule" je ne peux rien... Et souvent, autant qu'il m'est possible, tout en priant, je tourne mon regard vers l'extérieur comme s'il me fallait en parallèle, donner "corps" à ma prière, justement pour mieux "m'imprimer" que je ne suis pas seule... Si Dieu Est Toute Création, je suis dans cette création... Je ne dis pas, pour autant, que c'est une clé du bonheur, mais pour moi, dans mon équilibre, ça y contribue parce que je me sens plus paisible alors... Et si le bonheur, fondamentalement se résumait comme ça ? Développer, tous les jours, une intériorité plus paisible... Parce que quand nous y arrivons un peu... Avez-vous remarqué comme même la relation à l'extériorité est plus simple...
cricri
Ne rien attendre des autres est la voie du bonheur
Je n'ai pas la prétention d'avoir la clé du bonheur, vous vous en doutez... En revanche, je pense que le Dalaï Lama a voulu induire qu'il ne faut surtout rien attendre des autres, y compris de ses proches. Ce qui signifie qu'il faut essayer de développer au maximum une sorte de neutralité quant à notre entourage. C'est un peu un " Aide-toi, le Ciel t'aidera ".
Si on prend la peine de réfléchir à cette façon de se comporter, il est logique qu'il y ait des résultats intéressants. Un psychiatre m'expliquait un jour qu'un parent qui attend de manière pathologique d'excellents résultats scolaires de son enfant sera un parent " puni " par son enfant un jour ou l'autre ! Il m'avait précisé que cette forme de contrôle de part et d'autre du binôme entraîne toujours conflits et déceptions... Dans la vie, c'est pareil. Cet enseignement m'a été très utile. Je n'attends plus que ma famille me satisfasse et je réalise les bienfaits de cette attitude. De façon très terre à terre, je n'attends plus depuis longtemps que mes filles me téléphonent ou passent me voir. J'essaie de ne pas mettre d'émotionnel là-dedans car, quelle que soit la situation, nos souhaits nous ramènent systématiquement à des peines de notre enfance et ça ne fait pas avancer constructivement...
Sofia M
Ne contrôlons plus notre entourage et la Joie adviendra...
Je fais la même interprétation que Cricri...
J'essaie le plus possible de n'attendre que de moi. Il s'agit en fait d'une forme de lâcher-prise qui consiste à ne pas penser à la place des autres, ni à vouloir gérer leur vie. Il est certain que l'être humain a tendance à fantasmer que la joie ne peut venir que des autres ou de l'argent. C'est absolument impossible parce qu'aucun individu n'est totalement stable dans ses comportements, même le plus équilibré de l'Univers, que toute personne est mortelle, et quant à l'argent, il n'y a rien de plus fluctuant... La seule Joie qu'il faut raisonnablement attendre ne peut venir que de Dieu dont le Principe est un Amour infaillible mais pour faire un pas vers cette Dimension Unique, je répète qu'il est indispensable de ne pas faire des objets ou des Sujets environnants un placement sûr synonyme de pourvoyeur de bonheur ! Pour arriver à déchirer le voile qui nous sépare de la Joie Divine, il faut en quelque sorte régler notre abandonnisme parce qu'elle est bien là la pierre d'achoppement qui détruit notre santé et qui conditionne tous nos liens. Pour éclairer mon propos, je vais prendre un exemple concret.
Une de mes sœurs allait beaucoup en boîte et ma mère ne dormait pas tant qu'elle n'était pas rentrée. Ça devenait infernal et ma jeune sœur savait que ça mettait notre mère dans tous ses états. Elle ne cherchait jamais à la rassurer. Un jour, elle m'a fait tellement de peine parce qu'elle s'est mise à pleurer de fatigue que je l'ai prise à part en lui disant que le fait qu'elle ne ferme pas l'œil de la nuit ne changeait rien à la destinée de sa fille, sauf qu'elle s'abîmait sa propre santé... Comme elle résistait avec cette explication, je lui ai demandé si elle était inquiète pour ses enfants lorsqu'ils allaient à l'école. Elle m'a dit que non et en entendant sa réponse, j'ai senti qu'elle avait compris... La suite paraît miraculeuse et si spirituellement elle l'est, psychanalytiquement elle s'explique... Je vous assure que je n'invente rien : ma sœur est allée de moins en moins en boîte à partir de là, jusqu'au jour où elle a rencontré son chéri chez... ma tante maternelle !!!
Se faire du souci pour les autres n'est pas une preuve d'amour. C'est égoïste car c'est également une recherche de les mettre en dette ! Il ne peut pas y avoir de bonheur sur cette base de calculs inconscients sordides. Faisons confiance à la vie, sans oublier que tout un chacun a son chemin à parcourir et que nous n'y pouvons rien changer. Quand nous sommes inquiets et que la joie n'est pas au rendez-vous, acceptons que c'est parce que nous attendons de l'autre et que nous nous mêlons, même muettement, de ce qui ne nous regarde pas... Et tournons-nous immédiatement vers le Seigneur : cette autofrustration engendrera la Joie et la libération assurée de ce qui nous tourmentait jusque-là...
Amélie
Le bonheur ?
Même si je comprends un peu, avec ma petite intelligence, ce qu'on peut imaginer par "vrai bonheur", en fait je me demande, si en dehors même des souffrances bien réelles... on ne se fait pas justement une image du bonheur qui, finalement est "fausse" ? Il y plusieurs post qui expliquent bien, qu'en fait nous recherchons la plupart du temps, ce bonheur qui correspondrait à une sorte de nirvana, de quand on était dans le ventre maternel... Ce qui revient donc à dire que nous souffrons parce que nous voulons être dans ce ventre maternel... ce qui n'est pas possible. D'une certaine façon, tant qu'on est dans notre vie humaine, le bonheur est impossible alors. Mais quand même, nous avons tous, des temps de bonheur. Un amour, une union, une naissance par exemple... Mais peut-être que là aussi, parce que nous voulons "toujours plus", il faudrait que le bonheur se traduisent par de "grandes envollées"... et ça non plus ça n'est pas possible... Autant se faire une raison alors et accepter de voir la vie comme étant faites de mille et un petits bonheurs... qui pourraient être mis bout à bout, comme le bonheur ?
Gilbert
N'attendre que de Dieu
Vos posts m'ont remis les pendules à l'heure. J'ai en effet encore la sale manie de m'inquiéter pour les membres de ma famille. Je viens de réellement comprendre que cette façon de me positionner était finalement très égoïste. D'ailleurs, je me souviens à quel point, étant ado, j'en voulais à ma mère de se faire du soucis lorsque je sortais en boîte. Elle ne dormait effectivement pas tant que je n'étais pas rentré, allant jusqu'à attendre au bord de la route... Un amour qui étouffe et qui peut finir par "tuer ". J'ai d'ailleurs eu beaucoup plus tard un accident de la route, comme pour réaliser le " ce que je redoute m'arrive " de ma génitrice... Sauvé inexplicablement d'un point de vue objectif, j'ai compris ce jour là que ce n'était pas mon heure (encore trop " bonne-heure "). J'avais 30 ans et c'est la première fois que je me tournais véritablement vers la spiritualité. J'en ai 30 de plus, et vous me confirmez que c'est vers Lui que je dois continuer inlassablement de diriger mes pensées... Merci !
Jean
Le bonheur n'est pas " symbolisable "
Ce titre n'est pas de moi mais il est une partie de l'identité d'une conférence à laquelle j'ai eu la chance d'assister et de participer : " Pourquoi le bonheur n'est-il pas symbolisable ? ". Elle était donnée par un psychanalyste didacticien sous forme d'atelier de philosophie-analytique. Je ne me souviens plus du contenu mais mon inconscient doit l'avoir intégrer car vos post remettent en résonnance le fait que le bonheur ne peut pas venir de l'extérieur. C'est peut-être pour cela qu'aucun Dalaï-Lama, aucun Pape, aucun Maître, aussi Sages soient-ils, ne pourront apporter LA recette. Tout au plus peuvent-ils témoigner que ce bonheur existe. Mais nous seuls avec le " Aide-toi et le Ciel t'aidera " pouvons y goûter. Les guides peuvent nous montrer le puits mais ne peuvent boire l'eau à notre place. Nous cherchons souvent Dieu à l'extérieur et nous oublions trop souvent qu'il est aussi à l'intérieur de nous, au plus profond de nous... Il est notre Vie. Mais combien c'est difficile à réaliser ! Quoi qu'il en soit, j'avoue que ces discussions aident beaucoup l'abandonnique de service que je suis !!!
Isabelle
Le bonheur d'être libre
Merci à Cricri et Sofia M, qui par leurs posts permettent ce rappel essentiel "rester dans son axe", encore et toujours ! Parce qu'en plus, nous avons en principe appris, que de toute façon, s'inquiéter pour ses enfants, par exemple, ne change absolument rien de toute façon... Enfin, si je suis honnête avec moi-même... Si ! ça change, surtout qu'au bout du compte, je "gaspille" une énergie conséquente, qui bien évidemment, n'est plus disponible... pour mon propre chemin de vie, et comme le souligne Sofia M, chemin qui est le seul me concernant... cet abandonnisme qui nous titille sans cesse, "fausse" la vision juste... et répond encore aux injonctions familiales, transgénérationnelles, histoire de nous conforter dans un "surtout ne change rien !"... Pourtant, ce chemin analytique que j'ai choisi, m'a appris que "changer", c'est pour soi, et que c'est la seule clé possible, pour avancer quoi qu'il en soit... vers le bonheur d'être libre...
Viviane
Un bon rappel à l'ordre et à la Loi !
Merci pour cette " remise sur rail ", avec vos post ! Au fond, à chaque fois que je " déraille ", je fais preuve d'une réelle immaturité ! Et surtout, je triche avec moi-même... C'est sûr que dans ces conditions, je ne peux faire, et dans le meilleur des cas... que du " sur place " ! Pourtant, je sais bien par mes expériences de vie... que je ne changerais rien au chemins de ceux qui me sont chers, entre autres... Et que c'est parce que justement je " m'attache " a développer mon chemin, que c'est la seule possibilité pour l'entourage, et s'il le souhaite, de le prendre en miroir... "Charité bien ordonnée commence par soi-même"... et pour le reste... Dieu fait Loi...
Mireille-cogolin
Je ne suis pas Dieu et je dois rester à ma place
C'est sûr que je n'étais pas dans la bonne direction car j'attends toujours que les autres changent. Si je prends le cas de ma sœur, j'attends toujours qu'elle soit moins hystérique, moins dans le jugement des autres, plus dans l'accueil, dans le calme... Et je viens de bien comprendre, grâce à vos posts, que je suis dans l'erreur totale en espérant chaque jour que Dieu fait qu'elle va réaliser, qu'elle pourrit la vie de son entourage... Mais c'est toujours pareil. Je vous donne un exemple.
Samedi dernier, elle est passée me rendre visite sans me prévenir. Quand elle est arrivée, je finissais de passer l'océdar. Elle a commencé à me dire que je déplaçais la poussière en faisant comme ça. Ensuite, quand elle a vu que je le rangeais dans un coin discret de mon petit balcon de cuisine (je n'ai pas trop de placards), elle a haussé le ton en me disant que c'était " dégueulasse " et que j'étais décidément une " handicapée "...
Je sais que c'est elle qui a un problème mais elle m'a gâché ma journée. Comme je voudrais que ça cesse et qu'elle n'ait plus de prise sur moi, je vais m'appliquer à ne plus rien attendre d'elle et, si j'ai bien compris vos conseils, à ne même plus attendre qu'elle change. Après tout, je ne suis pas Le Seigneur et cette énergie que je gaspille pour rien, je vais la garder pour moi pour essayer d'avancer davantage spirituellement...
Il me semble que je sens bien au fond de moi ce que vous avez expliqué et je vais faire de mon mieux pour progresser sur ce joli chemin...
Juliette
Merci !
Une bonne piqure de rappel dont j'avais bien besoin. Je me rends compte qu'il est facile pour moi de jouer les inquiètes, mon mari ayant eu un cancer : La moindre toux, le moindre bobo et c'est parti pour un imaginaire plus que négatif. Mais vous avez raison, c'est égoïste car c'est la peur d'être abandonnée qui me guide. Surtout qu'il va bien et que, de tout façon, je ne pourrai rien y changer. Je crois (oh, oui ! ) qu'il est temps que je m'occupe de moi car mon bonheur passera par moi ! Et Dieu fera le reste...
Charles
Le bonheur, ici et maintenant !
La clé du bonheur ? Voilà bien une question essentielle. Pour moi, j'ai fini de courir après le vent. Je crois avoir un peu changer mon regard quant à cet idéal. Je crois être heureux par épisode... La musique prend une place de choix dans ce feuilleton. Je sais que je ne peux pas jouir de façon absolu. J'accepte ce manque et en souffre de moins en moins. Paradoxalement, je me centre de plus en plus sur l'instant présent qui m'offre des cadeaux que j'étais incapable de saisir par le passé tant j'étais tendu vers un avenir illusoire...
Younes
Encore une discussion évolutive !
Grâce au post de Charles, je découvre cette discussion un peu ancienne. De quoi réfléchir et surtout évoluer !
linda
En 1993,j'ai vécu des moments
En 1993,j'ai vécu des moments très difficile,j'étais inquiète pour mon conjpoint qui était bien malade,et qui tardait à demander de l'aide.
Il devait faire un voyage avec sa mère,et ses deux soeurs,il en rêvait depuis longtemps,mais il se sentait bien mal en point,il songeait à annuler son voyage.
C'est là que j'ai demandé très fort à la vie de lui permettre de réaliser son rêve,qu'il est la force de partir avec les membres de sa famille.
Le matin du départ,au lieu d'appeler sa famille pour annuler,il me dit «Je ne sais pas ce qui se passe,mais je me sens mieux,je vais faire le voyage.
J'étais si contente,c'est sur que j'étais quand même inquiète,mais le bonheur de voir mon conjoint être en mesure de réaliser son rêve me donnait des ailes.
Mon conjoint se souvient rarement de ses rêves,mais lors de son voyage avec sa famille,il a rêvé à son père,qui était décédé depuis 1947,cet homme a été gravement malade,il n'a vu son fils qu'une fois dans sa vie,car il était hospitalisé pour des problèmes graves aux poumons.
Donc,voici le rêve de mon conjoint,il tombe d'une falaise,et pendant sa chute,voit soudain son père qui lui dit «Tout va bien aller,prends soin de toi»
Ce rêve a marqué mon conjoint.
Dès son retour à Montréal,il a décidé de se prendre en main,c'était merveilleux.
Donc,au sujet de la clé,je crois que j'ai ouvert la porte du lâcher prise,et qu'ensuite,j'ai ouvert la porte de l'espoir,ce qui m'a apporté un grand bonheur.
Et depuis cette épreuve,je savoure encore plus les moments vécu avec mon conjoint
Gilbert
Faire pour le mieux puis lâcher prise
Intéressant que cette passionnante discussion rejaillisse grâce à votre post, Linda. Il y a dans la quête du bonheur, à mon sens, ce paradoxe entre la nécessité d'agir avec bon sens et en même temps de lâcher prise, c'est à dire de faire confiance à plus grand que soi, quel que soit le nom qu'on lui donne (le Destin, la Vie, l'Univers ou encore Dieu). Et les choses deviennent ce qu'elles doivent être. " Que Ta Volonté soit faite " dit le Christ.
Pour illustrer cette idée, je voudrais faire part d'une interview de Léonard Cohen que j'ai vu récemment lors d'une emission lui rendant hommage. C'est peut-être en lien, Linda, puisque ce chanteur était canadien. Il évoque ce livre hindou appelé la Bhagavad Gita. Il s'agit d'un général d'armée, Arjuna, dont le devoir (dharma) est de se battre. Sauf que les adversaires sont des membres de sa famille, des maîtres. Arjuna sombre dans un profond désarroi, lâche son arc et décide de refuser le combat. Le cocher de son char est Krishna (une incarnation divine, un avatar, comme disent les hindoux). Krishna donne alors un enseignement disant que de toute manière tout était écrit. Qu'Arjuna se batte ou pas, de toute manière le destin est écrit et Dieu a déjà tout planifié. Mais comme Arjuna est un guerrier, son devoir est d'engager le combat sans se soucier du résultat. A l'issue du dialogue, l'enseignant divin lui propose de réfléchir et d'agir comme bon lui semble. Inutile de dire qu'Arjuna, grâce à l'acceptation, décide de faire son devoir sans être affecté par son mental, réalisant qu'il était à sa place et du bon côté. Et il obtient la victoire, pour le plus grand bien de l'Humanité.... D'où l'intérêt d'intégrer les enseignements spirituels dans le concret de nos existences.
Très bonne journée à toutes et à tous,
Gilbert