Bonjour,
Faisant suite à un début de discussion sur Face book où j'ai publié la couverture de la revue " Psychanalyse magazine " dont le thème était le pardon, j'ai proposé à 2 amis de venir la continuer ici. D'autres viendront certainement nous rejoindre, le sujet n'étant pas évident du tout ! A vos clavier donc... Et j'attends mes deux lascars (rires !). J'espère qu'il feront ce qu'ils ont dit... En tout cas au moins un (rires !)
Jielgeai
En voilà déje un...
Mon cher Gilbert, j'ai tant de plaisir à lire tes posts sur Facebook que je ne pouvais que venir te rejoindre sur ce formidable forum.
Je suis certes beotien en la matière, mais tes sujets sont toujours très interessants...
Jielgeai
Certes... l'échange est tempéré par la modération...
Le dialogue est donc quelque peu différé dans le temps, "moderation" oblige, mais c'est un peu comme une partie d'échecs qui se jouerait de mémoire et à distance...
Le gymnastique intellectuelle n 'en demeure pas moins plaisante.
Le sujet étant le pardon... Pardonnez-moi, ô modérateur car je suis un être immodéré...
Jielgeai
L'au moins un s'est exécuté...
En ma qualité d'au moins un, je pardonne à mon coréligionnaire de ne pas avoir trouvé le fil d'Ariane qui le conduira ici... Un petit rappel sur le réseau social concerné me semble nécessaire...
J'y vais donc de ce pas tancer d'importance ce lâcheur! lol
Virginie Roques
Bonjour donc dans l'attente
Bonjour donc dans l'attente du second lascar mais je vous retourne le compliment Gilbert .
Le pardon ? Vaste sujet . S'il s'agissait de pardonner pour guérir, y aurait t'il tant d'âmes en peine ?
Ma foi m'exhorte au Pardon et je met un point d'honneur à lui désobéir . Tout ne se pardonne pas pour le confort d'un esprit qui n'est d'ailleurs pas plus en paix parce que l'on pardonne et qui n'évite pas la souffrance .
A défaut d'avoir trouvé le népenthès ou remède contre certaines tristesses , je n'ai pas pardonné à mon voleur d'enfance ni à la duplicité maternelle et je crois même que si la Vendetta ne résoudrait rien , elle est la seule justice qui s'impose pour apaiser un peu la brûlure .
Le Pardon peux libérer mais être aussi renonciation et je ne peux pas
Jielgeai
Ce n'est pas pour soi qu'on pardonne...
Chère Virginie,
Votre définition du pardon me semble quelque peu égoiste...
Le pardon, c'est libérer l'autre du poids de sa propre culpabilité... Il n'allège la nôtre d'aucune manière.
Gilbert. R. Psy...
Bienvenue à la marine :-)
Bienvenue Jielgeai,
Comme je te l'ai déjà exprimé, tu as des tas de choses fabuleuses à transmettre ici. Certainement une expérience de vie pas toujours comme un long fleuve tranquille, mais tu navigues quand même... Et puis j'ai beaucoup aimé ce que tu disais sur le pardon. C'est une face de toi que je ne connaissais pas. Ton humour, parfois acerbe, cache certainement une grande sensibilité dotée d'un grand humanisme. Je te laisse donc t'exprimer à propos de ce sujet pas facile, je te l'accorde...
Jielgeai
Tous les sujets sont faciles...
... ce sont les hommes qui compliquent tout...
La meilleure des réflexions vient bien souvent du coeur, de l'inné, voire de l'expértience... tout le reste n'est que fatuité bien souvente pédante à mauvais escient...
Jielgeai
Le pardon n'est pas si difficile...
Ce n'est pas de pardonner qui est le plus difficile, c'est d'avoir la force de trouver en nous même ce qui a bien pousser l'autre à nous faire du mal...
A l'évidence, dans l'esprit de... l'autre... c'est Nous, "le" fautif...
Pardonner est bien le moins que nous puissions faire pour débloquer une situation dans la quelle nous ne sommes pas toujours forcément innocents...
Gilbert. R. Psy...
Bonjour Virginie, enfin je crois (rires !)
L'autre est là mais a changé de casquette (rires !) Merci à vous deux pour votre fidélité d'engagement... Oui, il y a une modération ce qui évite les réactions à fleur de peau que l'on peut connaître sur Face book ainsi que son côté superficiel même si j'aime beaucou ce site... La preuve, j'y suis inscrit depuis plusieurs années !
Jielgeai
Heureusement que la modération existe...
... sinon... comment diantre pourrais-tu être le... modérateur?
Tu vois... tu parles de pardon et nous voici face à la crainte... autre débat...
Tu ne veux pas censurer, mais tu dois modérer... la confiance en ton prochain est donc en équilibre instable... mais, après tout, n'est ce pas le propre de l'équilibre que d'être... instable?
Jielgeai
Bon... si je ne veux pas trouver porte close à la poste...
Eh oui... nous ne sommes pas libres ni de nos obligations, ni de nos engagements...
J'ai promis à monsieur de lui envoyer un colis aujourd'hui... et ce dernier m'a fait confiance...
Donc... je dois aller à la poste...
Ce n'est parfois pas plus compliqué que ça, la conscience...
A très vite, mes amis!
Je vais, je poste, et je reviens...
Veni, posti, revini... ou à peu près...lol
Virginie Roques
Le pardon m'est impossible
Cher Jielgeai
Le pardon, c'est libérer l'autre du poids de sa propre culpabilité... Il n'allège la nôtre d'aucune manière.
J'accepte l'idée d'être égoiste et de n'avoir aucune grandeur d'âme . Tant pis pour mon salut donc mais je suis incapable d'alléger l'autre de sa culpabilité . Je suis la victime et non la coupable et je n'abous pas les violeurs .
Désolé si ma franchise choque mais nous ne devons pas inverser les rôles et doublement culpabiliser les victimes qui , trop souvent , le sont déjà par la justice .
Amicalement
Patricia B.
pour virginie Roques
je vous ai lut chére virginie,
Et je comprends très bien votre peine dans ce sujet du pardon et la dureté de la faire je suis aussi une femme et avant enfant meurtrie pour la vie et j'ai eut aussi beaucoup de mal a passer au dessus de tout cela car oui en est prises pour des bourreaux et non victimes mais je voulais vous dire que cela est leur probléme ; je pense que pour vous c'est guérir qu'il vous faut penser et non plus la culpabilité car je sais que cela peut detruire tous nos effort pour nous sortir de ces souffrances intérieures.
Je suis émue de votre commentaire et je comprend que le pardon soit dure mais je crois que vous pourais pardonner pas oublier liser ce que j'ai mis mon avis sur ce sujet et je peux vous dire que souvent on se trompe bien sur le pardon !
je crois que vous devais deja maintenant penser a vous pour vous reconstruire vous tout en laissant le passée au passée tourner la page veux pas dire que le méchant a raison pas du tout cela veux dire que vous voulez vous guérir et retrouver un bonheur et un équilibre dans la guérison; et vosu verrai que vous aurai le pardon pas celui qui excuse tout mais le pardon qui est une guérison personnel et un baume pour vous je vous conseils ce que mon coeur pense je vous ouvre mon coeur pour vous dire ce que je pense et ressent et que je uis de tout coeur avec vous je suis une simple femme qui s'accroche au meilleur pour que le pire ne bouffe pas ma vie je suis a votre écoute
Amicalement
Jielgeai
Le challenge est injuste...
... et j'ai gagné d'avance, puisque je vouis pardonne de ne pas me pardonner...
Le pardon, finalement n'est qu'un petit cadeau puisqu'on le fait... par ... don...
On m'a tant de fois accusé de tant de choses que, si j'avais été un tant soit peu vindicatif ou rancunier, je mènerai aujourd'hui une existence bien morne et bien solitaire..
J'avais écrit quelque part, il y a bien longtemps que "les femmes ne nous pardonnent jamais le mal qu'elles nous font"..
Il existe un adage de droit qui s'en trouve sur ce point, similaire: "nul ne peut se prévaloir de sa propre turpidtude"...
Cela dit... la poste va fermer...
Pardonnez-moi mon bavardage... lol
@+
Jielgeai
Vite à Virgine....
... Désolé, mais la poste va vraiment fermer... C'est plus de la souffrance que tu sembles évoquer que le fait de pardonner ou pas...
Tu sembles avoir vécu une situation récente dont la plaie est encore béante...
Même une cicatrice est toujours douloureuse...
Je crois que, dans ton cas, le pardon est hors sujet, c'est tout...
Bon, je file à la poste!
Ugo
"Comme une lettre à la poste"...
Bonjour tout le monde!
Ah ! si le pardon pouvait passer "comme une lettre à la poste"... Je trouve que pardonner est la chose la plus difficile qui soit mais aussi la plus libératrice pour soi et pour l'autre. Se pardonner d'avoir mal fait avant de pardonner à l'autre de nous avoir fait mal ??? Une idée comme ça !
Jielgeai
Ton idée me semble excellente!
Ugo, je pense uqe ce n'est pas pour rien que tu aies choisi comme avatar de Bouddah jovial et bedonnant!
Tu as une pensée positive... n'est ce pas le meilleur départ?
Virginie Roques
Mon témoignage et puis silence et pas de pardon
Lettre à ceux qui ne m’ont pas vu
Le soldat Vassillia ne vous dit pas merci . Ne vous le dira jamais et vous maudis même si …le temps a passé les larmes ont séché…leur source n’est pour autant pas tarie .
Mon enfance se termine avec les premiers attouchements sexuels d’un beau-père qui n’a de beau que la composante d’un mot qui résonne hideux . Prosaiquement , l’amant d’une mère nymphomane .
La lucidité de mes mots mériterait un Prix mais elle ne m’a causée que des foudres .
Parce que je me suis révoltée, que j’ai refusé le silence et la victimisation .
Au nom de toutes les petites filles violées dans leur enfance, souillées dans leur pudeur , détruites , dans l’incapacité de se reconstruire : salauds je vous salue.
D’abord il y a ce notable bien sous tous rapports qui vient s’encanailler avec ma mère contre quelques pièces qui nous permettent de ne pas crever . Il nous impose des grivoiseries malsaines, des gestes osés sous l’œil alcoolique d’une matrice animale . Mes tantes savent , mes oncles savent , mon père qui nous a abandonnés sait mais l’omerta les solidarise .
Nous ne sommes pas corses bordel, mais ils sont lâches .
Je ne serais jamais des leurs .
J’encaisse les injures, je relève ma mère en sang dans l’escalier qui mène à notre appartement dans une HLM pourrie d’une cité rurale d’une région oubliée de l’évolution . Je l’empêche de sauter par la fenêtre quand des hallucinations lui font voir des gens perchés dans les branches des arbres en dessous . J’invente des arrangements avec l’épicier du coin à qui elle doit une ardoise colossale tandis qu’elle enchaîne les hommes , propres, sales riches , sans domicile fixe, piliers de bistrot d’une nuit .
Ne cherchez pas l’origine de mon romantisme désespére de mon idéal d’une pureté déchue .
Silence . Ne troublez pas ma peine .
Et un amant succède au précédent . Ma mère cumule les aventures et parfois jusqu’à trois partenaires en même temps .
Nous vivons une maltraitance psychologique incessante, collectionnons les traumatismes sous l’œil morne d’une famille d’enculés certifiés . Nous avons faim, froid, peur avec l’assentiment de ceux censés nous protéger .
Mon frère aîné est féminin alors je suis l’homme de la famille , l’homme de la situation .
J’ai 11 ans quand mon violeur entre dans nos vies avec son couteau dont il nous menace .
Je tairais les tentatives de meurtre, les gifles , la fois ou je l’ai envoyé s’encastrer dans la penderie qu’il a démolie , les forces décuplées par une trouille paroxystique .
Je suis famélique . Je mange un jour sur …peu, je ne dors que d’un œil de peur qu’il ne poignarde ma mère ou mes frères et sœurs .
Je lui tiens tête alors il tente de me briser , de me rendre folle . Je résiste . Je ne vais plus au collège puis zappe le lycée . Tout le monde s’en fout . L’essentiel est de tenir pour mon frère trop faible pour nous défendre et pour ma petite sœur et mon petit frère , pour ma mère , pour un honneur chu de son piédestal . Je lutte. Je pleure surtout .
Et j’entends raconter n’importe quoi y compris que le bonheur existe.
Mon frère aîné part le premier …en nous abandonnant .
Mes 18 ans sonnent à l’horloge et je décide de partir , d’emporter ma sœur avec moi puisque le dernier aussi a fui . Les males se font tous la malle chez moi .
J’ai des couilles , eux pas : question de caractère .
Au tribunal ma mère et mon violeur ne font pas le déplacement : ultime marque de mépris pour la chose que je ne suis plus . Je ne suis plus rien d’ailleurs : détruite , défaite .
Ma sœur est placée en famille d’accueil et moi laissée à mon sort . Je suis majeure , je n’intéresse plus personne .
Quelques temps après ,je rencontre celui qui sera le grand et seul unique amour de ma vie : le père d Alexis : Jean-Marc.
Imaginez vous comment une fille vit et devient femme avec le pire en médaillon ?
Elle survit, rampe mais ne fait que panser des plaies à vif et jamais fermées.
Pardonner ? Pardonner qui , pardonner quoi ?
Les salauds sont toujours en vie . Ma mère les voit toujours et ne m’a jamais cru. Elle continue sa triste épopée dans le déni . Tous crèvent dans le confort de maisons de retraite ou chez eux mais d’une belle mort .
Moi j’essaie seulement de supporter l’insupportable .
J’ai cessé toute relation avec ma mère , j’ai coupé court à toute relation familiale .
Je me suis pardonnée d’être née sous une mauvaise étoile mais cela n’empêche en rien les larmes de couler ni une réelle difficulté à vivre , à aimer , à accepter l’amour de l’homme .
Pardonner à ceux qui ont ruiné ma vie et celles de mes frères et sœurs ?
Désolé mais il n’y a aucune compassion pour les violeurs d’enfants .
Pire , j’en suis à me demander s’ils n’ont pas abusé d’autres innocences .
Ma foi est une béquille maladroite et dérisoire face au mal insidieux qui me ronge alors le pardon , non merci
Jielgeai
Bravo de t' être racontée!
Chère Virgine,
Il était tellement flagrant que ton immense blessure est encore béante.
Merci à toi de t'être racontée ainsi, d'avoir extériosé avec tes mots toute cette souffrance que tu as subie.
Ta lettre en elle même est une ode au pardon... c'est cela d'ailleurs qui te mets en colère: "Tu ne veux pas pardonner, mais tu excuses"...
Chacune de tes accusations est suivie ou précédée de son explication...
Drame de la misère ordinaire dont fort heureusement tu sembles t 'être enfin sortie...
Les cauchemars semblent pourtant toujours être là, car il te manque quelque chose... l'amour d'une mère que tu appelles au secours et qui, sans doute par honte, plus que par mépris, n'ose ajouter à ta souffrance par ses mots, sa présence ou même son simple souvenir.
Tu n'es pas seule au monde (enfin, tu ne l'es plus)...
Tu as choisi le thème du "pardon" pour y exprimer ta colère.. n'est pas en soi un immense cri d'amour?
Tu as beaucoup d'amour en toi et tu voulais qu'on t'aime... le monde est cruel, les gens sont parfois minuscules, malsains..
Nul n'a de leçon ou de conseil à te donner.
Tout ce que nous pouvons faire c'est tendre l'oreille, te lire, te tendre une main amicale...
Tu n'as pas à pardonner des fantômes de ton passé, mais simplement avancer car parfois, la vie, hélas est ainsi faite.
Courage, mon amie.
Gilbert
Salut le gros, te v'la encore dans les parages !
Ugo, t'es toujours où il faut toi ! Après la philo gastronomique, la sainteté Zen... Remarque, moi là, je suis un peu coua ! Le témoigne de Virginie tient quand même la route... Et puis on n'est pas Boudhha pour tout pardonner, même si on se déguise dès fois... Allez je vais faire une médit sur le pardon et je reviens !
Jielgeai
On peut pardonner un crime, pas un vécu...
Salut Gilbert,
J'ai lu comme toi le long chemin de croix de notre amie Virginie...
C'est sa souffrance qu'elle veut exulter... le pardon à l'égard de triste "beau-père" a-t-il en soi une quelconque importance dans ce cas?
Gilbert
Salut Jielgeai :-)
Nous ne sommes plus là dans des concepts " béats "... Tu as tout dit et Virginie a bien fait de venir... Amitiés à tout le monde...
Gilbert. R. Psy...
Un silence plein...
Le type de silence que désire Virginie est de l'ordre de ce que nous appelons, nous les psys, un silence " plein ", dans le sens où il est chargé de vie car ce qui était à dire a été dit de manière sublime et quelques-uns l'ont accueilli... dont toi, Jielgeai. Ce qui ne m'étonne en rien. Amitiés à vous et à bientôt, sur d'autres thèmes...
Virginie Roques
Merci à vous
Merci à vous Jielgeai et Gilbert de m'avoir entendue
A bientôt
Jielgeai
Laissons la place à ... plein de silences...
Mon Cher Gilbert,
Tu as magistralement tout à la fois conclu et clos ce débat qui était en passe de devenir douloureux, mais qui, peut être... quelque part... a été un tout petit peu "libérateur"... certes nous ne sommes ici que de modestes grains de sable sur un longue route qui reste à bâtir, mais je souhaite de tout coeur que notre amie y ait trouvé une once de réconfort...
A bientôt sur tes pages et pour les thèmes qu'il te sera loisible d'aborder....
Amicalement Vôtre,
Jean-Louis
Virginie Roques
Patricia Merci et désolé si je ne peux pas
Je lis votre message avec attention et bienveillance . Je vous assure que , chaque jour qui passe , je me bats pour trouver du bonheur y compris dans des terreaux arides et stériles et que la foi m'est d'un grand secours : sans bigoterie aucune . Mon bourreau est toujours en vie . Mal en point mais toujours sur terre et j'appréhende l'annonce de son décés qui va certainement faire rejaillir ma douleur comme un geyser .
Ma mère a continué à vivre avec lui en niant notre calvaire et continue à le visiter . Pire , elle ne comprends pas que je n'ai pas la correction de visiter mon " beau-père" alors pardonner est au dessus de mes forces .
Je ne sais pas comment je réagirais lorsque le monstre ira rejoindre l'Enfer qui lui ai promis mais je sais que cela sera alors trés violent .
En tous cas , prenez soin de vous et merci de votre diligence
Patricia B.
pour virginie Roques
Bonjour virginie,
je sais le pardon est humainement impossible et je vous compreds je ne suis pas si courageuse que vous et de dire pouirquoi je vous comprends ma vie est pas un cadeau je vous assure. Mais je prends ma force dans ma Foi au jour le jour et je ne vous dis pas que même là tout est facile oh non je vous mentirais ma vie est un combats de tous les jours, pour me reconstruire, guérir et trouver puiser en moi la confiance que je n'ai jamis eut je lui puise en moi gr^ce a ma Foi en Dieu. je ne suis pas une personnes qui croit bêtement en dieu religieusement comme j'ai vu faire dans mon enfance non je vie a vie au quotidiens tout en sachant que Dieu existe et que Lui est capable pas moi de panser mes plaies alors je lui demande ce qui est pour moi impossible de faire et cela est aussi un combats de tous les jours de vouloir croire que dieu peux faire ce miracles dans nos coeurs nos vie et guérir ce qui est inguérissable. Je lis la Bible le semeur et cela me fais du bien et je prie pour que Dieu m'aide a comprendre se que je lis et me fasse du bien!
je voulais vous partager cela car cela est mon espoir et mon soutient , ma joie et je sais que puiser en Dieu est une force que nosu avons pas seule ! Je vous dit tout simplement aimer Dieu et laisser Dieu faire le reste dans votre vie et votre coeur c'est l'appel que je fais a vous pour vous dire que ma solution a été beaucoup ma Foi ! je suis disponible et a votre écoute si vous avez besoin chére Virginie permettez moi de vous dire combien votre souffrance me touche et que je voudrais vous apporter mon affection la plus sincère sans vous choquer d'avoir oser .
amicalment
Virginie Roques
Pardon douleur et foi
Chère Patricia
Quelque soit votre foi et votre manière de la pratiquer , il n'y a qu'un seul Dieu et tant qu'il nous permet de vivre , je suis à 100 % d'accord avec ces prescriptions .
Bien à vous et courage dans votre cheminement personnel dans la guérison
Mireille-cogolin
La difficulté de pardonner
Quelle richesse des foromers découverte une fois de plus dans cette page comme dans beaucoup d'autres de ce site.
Merci Seigneur...
Je voudrais apporter mon humble ressenti me sentant en confiance avec vous.
Pardonner me semble facile dans l'absolu, tant qu'un problème ne nous concerne pas directement. Mais dès qu'on est touché au plus profond de notre cœur, nos idées nobles s'en vont brutalement. Disons plus honnêtement que je parle de moi... Et comme je connais mes défauts et que je peux m'en prendre au Ciel parfois, pour arrêter l'absurdité de ma mauvaise réaction anti chrétienne, je me récite une prière que ma grand mère m'avait apprit, elle qui a tant souffert dans son âme, dans sa vie et dans sa chair. Cette prière quand je dérive m'aide à me recentrer :
"Seigneur, source de tout bien, répond sans te lasser à notre appel: inspires nous ce qui est juste, aides nous à l'accomplir par Jésus Christ Ton Fils Notre Seigneur ".
Puisse cette prière aider les cœurs en détresse...
Merci pour tous vos témoignages.
Mireille-cogolin
Un oubli
J'ai oublié de vous préciser que ce passage "inspires nous ce qui est juste" me remet dans l'axe du pardon...
Claire-13
Je vais essayer ce livre
Je vais aller acheter ce livre pour essayer de le lire.
Si c'est compliqué je reviendrais vers vous Gilbert mais je suis touchée par le temps que vous m'accordait. Je me sens moins seule avec mon problème familial...
Gilbert
Je suppose, Claire, que vous faites allusion à la destinée...
Claire, nous étions sur une discussion à propos de la destinée lorsque je vous ai conseillé un ouvrage. Je pense que c'est de celui-ci auquel vous faites allusion. Bien sûr, je serai heureux d'échanger avec vous. Cela me permettra de le relire aussi. Peut-être qu'à nous deux nous avancerons un peu... Bonne soirée à vous !
Modérateur
Vous vous êtes effectivement parlé à propos de la destinée :-)
Claire et Gilbert, vous avez effectivement partagé sur la discussion à propos de la destinée... Il est vrai qu'il y a une multitude de discussions actives... Même l'équipe de modérateurs arrive à s'y perdre quelquefois.
Voici le lien en question !
http://votre.signesetsens.com/node/431