Il semblerait que la belle Cléopâtre ait confié sa peau en s'immergeant quotidiennement dans des bains de lait d'ânesse (700 litres nécessaires à chaque fois tout de même !). Mais Reine, elle en avait les moyens ! Poppée, deuxième épouse de l'empereur romain Néron ou encore Pauline, la soeur de Napoléon Bonaparte, auraient également succombé à la tentation pour entretenir la jeunesse de leur derme...
Aujourd'hui, la cosmétique a rendu les gestes esthétiques heureusement plus simples et moins onéreux. En outre, si le lait d'ânesse a toujours le vent en poupe, ses jolis conditionnements pratiques n'apportent aucune contrainte dans la salle de bains. Précisions sur un élixir d'exception...
Une efficacité prouvée grâce à l'excellence de sa composition :
. Sa richesse en omégas-3, en omégas-6, en vitamines A et E, contribue à ses vertus antirides.
Une gamme biologique complète :
. Crème pour le visage.
. Lait de douche.
. Crème hydratante pour le corps.
. Lait de toilette.
. Crème pour les mains.
. Savon.
. Lotion tonique.
. Shampooing.
Le coût :
Étonnamment et malgré la rareté de ce lait précieux (un à deux litres trait(s) par jour sur une durée de quatre à six mois), le prix de revient des produits au lait d'ânesse est de l'ordre de celui des cosmétiques de bonne qualité. D'autant que de l'avis des producteurs et des spécialistes, inutile de pelliculer sa peau en abondance pour obtenir un résultat probant.
Le lait d'ânesse constitue d'évidence, lorsqu'on a essayé ses produits délicats, un vrai bonheur pour l'entretien de son enveloppe corporelle mais il est agréable de noter qu'il existe un aspect philosophique intéressant dans ce type de choix cosmétique singulier : les ânesses, au moment de leur traite, ont besoin que leur ânon soit pratiquement collé à elles...