Il y a moins d'un demi-siècle, les hommes tatoués appartenaient à une classe de la société considérée comme peu fréquentable : il s'agissait en grande partie de certains qui avaient un passé de détenu. Il y a eu ensuite les marginaux. Aujourd'hui, dès la majorité atteinte, il est de bon ton - et rarement de bon goût - de se faire tatouer ! De quoi être dérouté... Les artistes, tous...